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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 19:45

# PCN-SPO / PARTICRATIE & PRIVILEGES / ECOLO, LES VERT-KAKIS BELGICAINS, RATTRAPE PAR SON HYPOCRISIE !

PCN-NCP Press Office - Service de Presse du PCN

 

Par Luc MICHEL

(09/03/2012 / avec PCN-SPO – LDH – LLB - Belga)

 

M. Deleuze aurait, avec le recul (sic), "agi différemment" (resic) avec ses indemnités de sortie (un quart de millions d’Euros) …

 

LE BEAU COUP DE COM’ DES VERT-KAKIS BELGICAINS …

 

Acte 1. Les deux nouveaux co-présidents du Parti ECOLO tentent un coup de pub politique.

Faire croire à leur désintéressement en refusant leur indemnité de sortie du Parlement wallon. Joli coup en ce temps de régression sociale.

Le nouveau co-président des Verts, Deleuze, a ainsi renoncé, tout comme la co-présidente Emily hoyos, à son indemnité de départ d'ex-parlementaire (150.000 euros dans son cas).

Le même genre de plan com’ politique qui veut faire croire à la moralité des Cohn-Bendit et autre Eva Joly en France. Comme si être magistrat dans le système occidental corrompu jusqu’à l’os était un gage de moralité !

 

Acte 2. Effet boomerang immédiat. LA LIBRE BELGIQUE, quotidien bruxellois proche de la Démocratie-Chrétienne, et LA DERNIERE HEURE, quotidien proche des Libéraux,  - pour comprendre ces deux mouvements politiques étant dans la nouvelle majorité et les Verts-kakis dans l’opposition - révélaient la véritable nature du « désintéressement » des ECOLOS. L’un d’eux, le sentencieux Deleuze, étant même un cumulard de la particratie et des prébendes de l’ONU (autre scandale).

« Olivier Deleuze n'a pas toujours dit non aux indemnités » titre LA LIBRE, qui révèle qu’ « Olivier Deleuze n'a pas toujours montré le même altruisme dans sa carrière (…) En 1986 et 2003, à l'occasion de deux démissions, il a accepté (et c'était légal) plusieurs dizaines de milliers d'euros d'indemnités. » Cerise sur le gateau pourri, « De même, comme fonctionnaire aux Nations-Unies, il a capté un jackpot encore plus important avant son retour à la Chambre en 2010 ».

 

Acte 3. Olivier Deleuze assure ce vendredi qu'il aurait, avec le recul, "agi différemment" avec les indemnités de sortie - 250.000 euros au total - qu'il a perçues dans le passé lors de trois démissions, antérieures à celle de député qu'il a présenté après son élection dimanche à cette nouvelle fonction, aux côtés d'Emily Hoyos. Les journaux 'La Libre Belgique' et 'La Dernière Heure' comptabilisaient en effet vendredi l'addition des indemnités perçues par le passé (en 1996, en 2003 et en 2010) par M. Deleuze, les chiffrant à un quart de million d'euros brut.

 

COUP DE PROJECTEUR SUR LES MŒURS ET LES PRIVILEGES DE LA PARTICRATIE DU ROYAUME BANANIER

 

Combien çà a coûté exactement au contribuable ?

Impitoyable pour démolir les adversaires de ses amis politiques, LA LIBRE chiffre : « Olivier Deleuze s’est-il toujours appliqué à lui-même cette austère discipline ? Réponse : non, il a fait comme tout le monde. Ce qui n’a rien d’illégal, rappelons-le. D’abord, en 1986 : il claque la porte d’Ecolo et renonce déjà à l’époque à son siège de député. En 2003 : il démissionne de l’Arc-en-ciel fédéral où il officiait comme secrétaire d’Etat à l’Energie et au Développement durable depuis 1999. Enfin, employé de l’Onu, en tant que directeur au Programme pour l’Environnement de 2004 à 2010, il remet également sa démission et rempile en politique (il est redevenu député depuis 2010). La question inévitable : combien ? Oui, à combien s’élèvent les indemnités qu’Olivier Deleuze a pu obtenir lors de ces trois démissions ? Selon nos informations puisées à bonne source, si l’on additionne tous les montants, on arrive à environ 250 000 euros bruts ! Et on ne tient pas compte de l’inflation Le détail : 46 614 euros en 1986 ; 73 164 euros en 2003 ; 130 000 euros à son départ de l’Onu. Soyons de bons comptes, ses anciennes fonctions aux Nations-Unies n’étaient pas un mandat électif belge. Mais il s’agissait tout de même d’argent public. Si Olivier Deleuze avait accepté, en outre, les indemnités de chef de groupe à la Chambre, le "jackpot" sur les deniers publics uniquement dû à des démissions se serait donc élevé à 400 000 euros. ».

 

Aux explications embarassées de Deleuze font écho les précisions confuses du parti ECOLO : « Face à ces montants, nous n’avons pas pu obtenir de réelle confirmation de la part d’Ecolo, précise  LA LIBRE ». Que dit ECOLO : « Olivier Deleuze n’a pas un souvenir précis de ce qu’il a perçu (sic), explique un porte-parole du parti. C’est compliqué car il ne s’agit pas d’une somme versée en une seule fois. Pour 1986, il a reçu cet argent en 12 mensualités. ça lui faisait au final du 2 000 euros nets/mois. Et pour l’Onu, ce sont des fonctions exercées à titre privé. Il ne faut donc pas globaliser (resic). »

 

Les explications confuses de Deleuze jetant une lumière crue sur la particratie, ses privilèges et ses prébendes.

 "On ne parlait pas dans le passé du fait de renoncer à ses indemnités de sortie. Personne ne le discutait. (...) Cela paraissait normal, à tort ou à raison. Aujourd'hui, ce n'est plus accepté. La société est plus dure, l'économie va moins bien et je pense même qu'il faut aller plus loin", a-t-il affirmé vendredi matin sur les ondes de Twizz Radio. Interrogé sur ce qu'il ferait maintenant - il a renoncé à son indemnité de sortie parlementaire après sa démission comme député et chef de groupe Ecolo -, M. Deleuze a admis qu'il aurait agi différemment. "Oui, bien entendu, avec le recul" (sic), a-t-il dit, sans préciser exactement que ce qu'il aurait fait.

 

LA « VERTU » PUBLICITAIRE D’ECOLO A UN PRIX … C’EST LE CITOYEN QUI LE PAYE CASH !

 

Par ailleurs, la « vertu » des écologistes, en fait simplement le fait que tous leurs jeunes loups aux dents longues veulent une place à la mangeoire régimiste, coûte fort cher au citoyen.

Sous le titre « Quand Ecolo coûte une fortune au contribuable... »,  BELGA et LA LIBRE révèlent encore un autre aspect du côté obscur des Kaki-verts belgicains, en reprenant les propos d’un parlementaire libéral :  « Le non-cumul des mandats imposé par Ecolo à ses membres est vertueux sur le plan, des principes, mais il a jusqu'ici coûté une fortune aux contribuables, a affirmé vendredi le député bruxellois Emmanuel De Bock à l'Agence Belga. Pour lui, il est impératif de supprimer les indemnités de sortie sur base volontaire, d'autant que l'on pervertit le système, l'électeur élisant des députés "en particulier chez Ecolo" qui n'assument que des demi-mandats. Selon lui, lorsqu'un député abandonne son mandat en cours de législature, il perçoit une indemnité de sortie d'un mois par mois presté, avec un plafonnement à 12 mois d'indemnités. »

 

La « vertu » publicitaire des ECOLOS, c’est le contribuable qui la paye. Cash et fort cher.  Exemple : Toujours d'après Emmanuel De Bock, le passage éclair de Sarah Turine au parlement bruxellois en 2009, avant son accession à la co-présidence d'Ecolo en décembre, s'est soldé par 6 mois d'indemnités soit au moins 30.000 euros. "Et Jean-Michel Javaux, quittant en 2003 le Parlement Wallon un an avant-terme, avait-il renoncé à un an d'indemnités? ", a-t-il demandé.

Pour Emmanuel De Bock, il serait intéressant d'avoir une transparence sur les indemnités et les avantages (frais + mises à disposition de personnel) que les nombreux changements intervenus chez les Verts ont engendré depuis les années '90. "Et il n'y a pas que les indemnités de sortie des députés. Chaque ministre sortant a bénéficié d'indemnités de sortie, mais aussi un véhicule, deux collaborateurs temps plein. Les ministres Ecolo ont-ils renoncé aussi à leurs collaborateurs et indemnités de sortie de ministres? ", a-t-il interrogé.

 

Comme nous le disons sans détour  au MEDD-MCR et au PCN, la seule façon de mettre un terme à l’action prédatrice de cette classe de parasites parlementaristes, c’est la DEMOCRATIE DIRECTE et la fermeture des parlements bourgeois …

 

LM

 

Photo :

Dubus, le talentueux carricaturiste de la DH (Bruxelles), flingue l’hypocrisie des ECOLOS, les VERT-KAKIS belgicains …

http://galeries.dhnet.be/album/dubus03122010/dubus09032012.jpg/

 

 

 

 

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