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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 00:13

 

Najat Vallaud-Belkacem, en février 2012 à Lyon.

Najat Vallaud-Belkacem, en février 2012 à Lyon.

 

PORTRAIT - Elle récupère le ministère des Droits des femmes, porte-parole du gouvernement...

Rares sont ceux qui ont été porte-parole de candidat à la présidentielle deux fois de suite. C’est le cas de la pourtant très jeune Najat Vallaud-Belkacem qui a eu cette lourde tâche à 29 ans, avec Ségolène Royal, et à 34 ans, avec François Hollande. Les deux fois, elle s’en est très bien sortie.

Née à Ben Chicker au Maroc, juriste de formation, c’est Gérard Collomb, le sénateur-maire de Lyon qui la découvre et lui confie une mission sur la lutte contre les discriminations en 2003, un an après son adhésion au PS. En 2004, elle devient conseillère régionale Rhône-Alpes. En 2007, Ségolène Royal en fait donc un rouage essentiel de sa campagne. Les deux femmes accrochent et Najat Vallaud-Belkacem devient une «royaliste» de choc. En 2008, elle est élue conseillère générale du Rhône, après avoir échoué aux législatives à Lyon en 2007, et mène la bataille du congrès de Reims.

Elle multiplie les déplacements

En 2011, elle forme, avec Guillaume Garot et Delphine Batho, la garde rapprochée de la présidente de la région Poitou-Charentes lors des primaires. François Hollande a repéré cette jeune femme souriante, moderne, et lui propose de le rejoindre dans son équipe, au nom du rassemblement.

Pendant la campagne, la jeune femme a multiplié les passages en plateau pour porter la parole du chef et fait plusieurs déplacements avec «le candidat», s’employant à déminer tout sujet sensible. Lors de la fin de campagne, on l’a même vue, avec Aurélie Filippetti, animer la première partie des meetings. Ce mercredi, elle accède au poste de ministre des Droits des femmes, porte-parole du gouvernement.

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 00:11
 
Najat Vallaud-Belkacem, le 12 mars à Paris.

Najat Vallaud-Belkacem est nommée ministre du droit des femmes et porte parole du gouvernement. L'ancienne porte-parole de Ségolène Royal était devenue, après la victoire de François Hollande aux primaires, en octobre 2011, porte-parole du candidat du PS, avec Delphine Batho, Bruno Le Roux et Bernard Cazeneuve.

Najat Vallaud-Belkacem est née le 4 octobre 1977 à Beni Chiker, dans une région rurale du Maroc. Son père, immigré économique, est devenu ouvrier dans le bâtiment en France. La jeune femme, elle, est naturalisée à l'âge de 18 ans, elle a la double nationalité.

Licenciée de droit puis entrée à Sciences-Po, elle devient assistante parlementaire de la députée socialiste Béatrice Marre (Oise) pendant ses études.

PORTE-PAROLE DE SÉGOLÈNE ROYAL

 

 

Depuis 2002, et la percée de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle, la jeune femme est encartée au PS. En 2003, elle rencontre Gérard Collomb, alors maire de Lyon. Elle devient rapidement sa conseillère sur les politiques de proximité et de démocratie participative.

 

Candidate sur la liste de Jean-Jacques Queyranne (au 18e rang) pour les élections régionales de 2004, elle est élue pour la première fois conseillère régionale, déléguée en charge de la culture. A 27 ans, elle est la benjamine du conseil régional de Rhône-Alpes.

 

En 2007, Najat Vallaud-Belkacem, alors agée de 29 ans, devient la porte-parole de Ségolène Royal pour la campagne présidentielle, avec Arnaud Montebourg et Vincent Peillon. Candidate pour les élections législatives à Lyon, elle est battue par Dominique Perben mais obtient plus de 43 % des voix.

L'année suivante, elle est élue conseillère générale du Rhône, et conseillère municipale à Lyon. Elue du 3e arrondissement, Gérard Collomb la nomme adjointe déléguée aux grands évènements, à la vie associative et à la jeunesse. Un an plus tard, Najat Vallaud Belkacem est nommée secrétaire nationale en charge des questions de société au PS.

Aujourd'hui, elle vient d'être nommée Ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement.

Najat Vallaud-Belkacem est l'auteur du livre Raison de plus !, publié en mars dernier.

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 00:09

 

Passation, pouvoir, porte-parole, Najat Vallaud-BelKacem, Valérie Pécresse,

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 00:05
Passation de pouvoir 2012 : Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes et porte-parole du Gouvernement

La passation de pouvoir concernant le porte-parole a eu lieu ce jeudi 17 mai. Najat Vallaud-Belkacem remplace Valérie Pécresse et devra également s'occuper du ministère du Droit des femmes.

Najat Vallaud-Belkacem est la nouvelle porte-parole. La passation de pouvoir entre les ministres continue, et c'est cette fois Valérie Pécresse qui laisse sa place à Najat Vallaud-Belkacem comme porte-parole. "Je suis désormais ministre en charge d'un sujet qui devient majeur, le Droit des femmes et la porte-parole d'un gouvernement que je serais fier de représenter car il incarne à lui seul les engagements pris durant la campagne". Najat Vallaud-Belkacem est en effet à la tête du ministère du Droit des femmes. "François Hollande s'est engagé à faire confiance à la jeunesse, c'est une grande fierté, un grand honneur, une confiance dans ce qui va se passer" a rajouté la nouvelle ministre et porte-parole.

Valérie Pécresse, ancienne ministre du Budget, a pris la parole pendant la cérémonie. "Bon vent à vous et bon courage (…) Traitez bien les journalistes, ils le méritent, ils travaillent autant que nous, ils ont besoin de décryptage, de comprendre l'action du gouvernement" a-t-elle déclaré. Najat Vallaud-Belkacem a ensuite parlé : "Je suis pour ma part très heureuse d'avoir eu la confiance du président de la République et du Premier Ministre. Porte-parole est une mission que je conduirai en faisant en sorte de représenter le mieux possible mes collègues d'un gouvernement dont je suis fière. Je ne doute pas que ce gouvernement mènera à bien le redressement de la France dans lequel il s'est engagé". Najat Vallaud-Belkacem remplace donc Valérie Pécresse. Que pensez-vous de cette passation de pouvoir ?

Passation, pouvoir, porte-parole, Najat Vallaud-BelKacem, Valérie Pécresse,

Najat Vallaud-Belkacem ministre du Droit des femmes

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 00:03

 

http://media.rtl.fr/online/image/2012/0517/7748259523_najat-vallaud-belkacem-a-ete-nommee-ministre-des-droits-des-femmes-et-porte-parole-du-gouvernement.jpg

http://www.dailymotion.com/video/xqw9ws_compte-rendu-du-premier-conseil-des-ministres-par-la-porte-parole-najat-vallaud-belkacem_news

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:57
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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:55

"Karachigate" : les juges sur la piste de comptes en Suisse
(14/04/2012 / PCN-SPO avec AFP)

Les juges qui enquêtent sur le volet financier de l'affaire Karachi tentent de démonter le circuit complexe des commissions sur des contrats d'armement qui, en passant par la Suisse, sont soupçonnées d'avoir financé la campagne d'Edouard Balladur en 1995.

Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire s'interrogent sur le transit dans une banque suisse, en avril 1995, d'une somme presque identique à celle versée en liquide le même mois sur le compte de campagne de l'ex-Premier ministre (1993-95), et dont l'origine demeure mystérieuse, selon des documents révélés pour certains par Mediapart et que l'AFP a consultés.
Au total, 10.250.000 francs avaient été déposés le 26 avril 1995 - trois jours après le premier tour de la présidentielle - sur ce compte de campagne, au Crédit du Nord. En 2010, M. Balladur avait affirmé que la somme provenait de la vente de gadgets et de dons lors de meetings.
Pour l'heure, les commissions rogatoires adressées en Suisse n'ont pas permis de prouver que ces fonds étaient les mêmes, mais elles introduisent de nouveaux personnages dans la tentaculaire affaire Karachi.
Les juges font une hypothèse: des commissions - légales jusqu'en 2000 - générées par deux contrats d'armement scellés en 1994 avec l'Arabie saoudite et le Pakistan pourraient avoir contribué - via des rétrocommissions qui sont, elles, illégales - au financement de la campagne présidentielle de M. Balladur.
Selon plusieurs témoins, le cabinet de François Léotard, alors ministre de la Défense, aurait imposé dans les derniers mois de la négociation du contrat Agosta avec le Pakistan un nouveau réseau d'intermédiaires, dont Ziad Takieddine et Abdulrahmane al-Assir, qui devaient empocher 4% du contrat, soit 33 millions d'euros.
Ziad Takieddine, qui a toujours nié tout lien avec le contrat Agosta, a néanmoins été mis en examen par les juges, qui ignorent où se trouve M. Al-Assir.
A la demande des deux magistrats, le procureur de Genève Jean-Bernard Schmid a conduit cette année plusieurs auditions en Suisse pour retrouver la trace des commissions.
Il a entendu le 2 février Khalil Hassan, ancien employé de la banque SCS Alliance, dont un des clients fut une personnalité koweïtienne, Cheikh Ibrahim Douaij al-Sabah.
Dans cette déposition, que l'AFP a consultée, M. Hassan dit avoir rencontré, à l'occasion de ses contacts avec Cheikh al-Sabah, M. al-Assir ainsi qu'un certain Moustafa al-Joundi, qui selon lui travaillait pour M. Al-Assir. "A ma connaissance, les trois étaient amis", dit-il.
"J'ignore pour quelle raison, selon ce que vous me dites, Cheikh al-Sabah aurait mis à disposition de Moustafa al-Joundi son compte auprès de SCS Alliance pour une opération de simple transit de 10.000.000 francs en avril 1995", répond M. Khalil au procureur Schmid.
Le lien possible entre les commissions et le compte de M. al-Sabah chez SCS Alliance (devenue en 2009 la Compagnie bancaire helvétique) est également fait par l'avocat suisse Hans-Ulrich Ming, entendu le 3 février par le procureur.
Dans une déposition du 27 janvier 2011, cet avocat de Genève avait reconnu avoir créé, en 1994, pour M. al-Assir la structure offshore Mercor qui devait lui permettre de toucher les commissions sur Agosta.
"Mercor Finance, de droit panaméen, était chapeautée par l'établissement liechtensteinois Rabor Anstalt", indique Me Ming dans sa déposition du 3 février. "Mercor facturait des commissions sur des contrats avec le Pakistan et Rabor avec l'Arabie saoudite".
"Al-Assir m'a instruit de verser une partie de ses commissions encaissées par Rabor au Liechtenstein sur un compte SCS Alliance à Genève", indique Me Ming, précisant que ce compte était au nom de M. al-Sabah, "membre de la famille régnante koweïtienne".
La déposition de Me Ming renseigne également sur les soupçons des enquêteurs sur M. Joundi.
"Vous relevez que, selon les investigations menées à ce jour, il apparaît que chacun des crédits de Rabor sur ce compte SCS Alliance en ont été immédiatement débités en liquide par une mise à disposition en faveur d'un certain Moustafa al-Joundi", déclare Me Ming au procureur Schmid.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:55

"Karachigate": Jospin informé en 1998 de soupçons de rétrocommissions
(17/05/2012 / PCN-SPO avec AFP)

Une note d'avril 1998 issue des archives du cabinet du Premier ministre et publiée mercredi par Mediapart, indique que Lionel Jospin avait été informé de soupçons de rétrocommissions en marge de la vente de sous-marins au Pakistan.
Ce document a été déclassifié le 4 mai et communiqué aux juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire, qui instruisent l'enquête sur le volet financier de l'affaire Karachi.
Dans cette note datée du 17 avril 1998, où figure une annotation manuscrite de M. Jospin, le conseiller défense du chef du gouvernement, Louis Gautier, et le chef du cabinet militaire, le général Louis Le Mière, évoquent des "circuits de financement suspects" en marge du contrat Agosta conclu en 1994 et portant sur la vente de trois sous-marins au Pakistan. Les deux hommes indiquent cependant que ces financements suspects ont été "définitivement taris".
Les juges Van Ruymbeke et Le Loire tentent actuellement de déterminer si le versement -alors légal- de commissions en marge de ce contrat a généré des rétrocommissions qui auraient contribué au financement illicite de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995.
Les versements de commissions auraient été stoppés par Jacques Chirac en 1996 en raison de soupçons de rétrocommissions.
Dans cette note, MM. Gautier et Le Mière s'interrogent alors sur l'opportunité pour la France de maintenir ou non le gel des exportations militaires vers le Pakistan, décidé par le gouvernement Jospin "à la mi-septembre 1997 à la suite d'interrogations sur les paiements associés aux contrats d'armement français vers le Pakistan".
Dans une note du Quai d'Orsay datée de 1997, révélée en 2011, un autre haut fonctionnaire du gouvernement Jospin, Pierre Sellal, directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine, s'était déjà inquiété des répercussions d'une enquête pakistanaise sur le contrat Agosta sur deux anciens ministres de la Défense, Pierre Joxe et François Léotard, et sur Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d'Edouard Balladur à Matignon.
M. Bazire fait partie des personnes aujourd'hui mises en examen par les juges Van Ruymbeke et Le Loire.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:52

PCN-SPO / LE VOTE JUIF POUR SARKOZY…

PCN-NCP Press Office - Service de Presse du PCN

 

… Imaginez le scandale si ce n’était pas le CCLJ, le Centre Communautaire Laïc Juif de Bruxelles, qui le disait !

PCN-SPO / 2012 04 24 /

 

« Ecrasante victoire de Nicolas Sarkozy ! » titre le CCLJ. »Un soutien plus que bienvenu ... », commente Ouri Wesoly ce 23 avril 2012, étudiant le vote des Juifs français vivant en Israël (avec la double nationalité). « Mais non, Sarko, t’es pas tout seul. Les Juifs français d’Israël sont avec toi. Et pas qu’un peu : à 82,7 % ! Une élection de Maréchal alors que ce pauvre François Hollande se traîne à des kilomètres derrière avec 7,6 %.Ne parlons pas de François Bayrou qui culmine à 2,7 %. Mais, point de détail intéressant, Marine Le Pen finit 3e avec 3,9 %. Bien sûr, ces chiffres auraient été plus impressionnants encore si la participation n’avait été aussi faible .Mais, hélas, 14,4 % à peine des 60.000 électeurs inscrits se sont déplacés. Cependant, ces votes correspondent aux vues du gouvernement israélien actuel. Certes, les foucades du président sortant et sa politique brouillonne au Moyen-Orient ont souvent crispé Jérusalem.Mais, comme dit le proverbe, « on préfère le diable qu’on connaît ». Surtout quand il vous ressemble dans d’autres domaines (libéralisme échevelé, soutien aux riches, etc.) Qui plus est, le candidat socialiste cumule les handicaps.Déjà, il est de gauche, un gros mot pour la coalition au pouvoir. Mais c’est surtout un parfait inconnu pour l’establishment israélien. Pour le reste de la population aussi d’ailleurs. Laquelle, en dehors de la terrible tuerie de Toulouse, s’est fort peu intéressée au scrutin… »

 

Source : http://www.cclj.be/article/3/3077

 

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:47

 

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