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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:27

arton62

 

Sur l'arabisme, Michel Aflaq dit : « Nous ne sommes pas meilleurs que les autres, mais nous sommes différents ! Cette différence est ce qui fait de nous Arabes, et qui fait d'eux des non-arabes! ».

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:27

arton62

 

Michel Aflaq conseilla aux b'athistes d'oublier toutes les théories européennes concernant le nationalisme, pour « revenir vers ce qui est pur et originaire ». « le nationalisme arabe n'est pas simplement une théorie, c'est la source de toutes les théories. Il n'est pas le produit de la pensée, il en est le générateur. Il n'est pas le maître d'art, il est son esprit. Il ne se confronte pas à la liberté, il est liberté ».

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:26

arton62

 

Sur l'arabisme, Michel Aflaq dit : « Nous ne sommes pas meilleurs que les autres, mais nous sommes différents ! Cette différence est ce qui fait de nous Arabes, et qui fait d'eux des non-arabes! ».

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:25

arton62

 

Michel Aflaq considérait que « … le travail pour l'unité arabe doit commencer malgré la présence coloniale, le féodalisme et les régimes réactionnaires ».

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:23

الأمة العربية

 

800px-Flag of the Ba'ath Party.svg

الأمة العربية

1 Stéphane  

ستيفان بردي      ميشيل عفلق

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:22

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:21
ميشيل عفلق Michel Aflaq

1

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:20

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:17

La Russie et la Chine opposent leur veto au projet de résolution arabo-occidental

04 Fév 2012

 

New York / La Russie et la Chine ont bloqué le projet de résolution arabo-occidental au Conseil de Sécurité sur la Syrie, ce projet qui porte atteint à la souveraineté de cette dernière et intervient dans ses affaires intérieures, et ce, après le rejet des modifications russes par les pays occidentaux.

Lors d'une séance tenue aujourd'hui par le Conseil de Sécurité, le délégué permanent de Syrie, Bachar al-Jaafri, a dit que "la Syrie est en proie à une crise engendrée par des parties qui ne veulent pas le bien de la Syrie à travers l'appui de groupes terroristes par argent, armes et médias pour terroriser les gens et détruire les infrastructures".

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"La Syrie n'attend pas des leçons en matière de démocratie et des droits de l'Homme de la part de pays qui traitent ces deux concepts comme ils traitent les opérations opportunistes de vente et d'achat dans les marchés financiers", a martelé le diplomate syrien, précisant que la Syrie jouira de la stabilité et de la sécurité comme toujours et qu'elle restera un pays tolérant et ouvert à tous ses enfants.

Il a ajouté que certains pays arabes, ceux qui adoptent le projet de résolution, sont les mêmes qui avaient empêché la Ligue arabe d'adopter l'initiative complémentaire présentée par la Syrie à propos du renforcement du processus de réforme dans les pays arabes.

Al-Jaafri a estimé très important d'inspirer de l'Histoire et d'évoquer des exemples des civilisations et de la littérature des peuples. Il a cité ici "le chef d'œuvre" écrit par l'écrivain allemand Johann Wolfgang von Goethe intitulé "Faust". "Il s'agit d'un roman parlant symboliquement des risques qui résident dans le fait qu'une personne sage vend son âme au diable. Cette histoire symbolique résume quasi ce que je veux dire au début de ma déclaration, autrement dit, il ne faut pas que l'homme vend son âme au diable pour des intérêts chimériques qui menacent d'en finir avec son espoir d'obtenir la liberté plus tard.

"Ayant une confiance en le rôle arabe, on espérait que le règlement de la situation en Syrie restait dans le cadre de la maison syrienne en premier lieu, et dans celui de la maison arabe assistante en deuxième lieu; or certains se sont avérés pressés d'amener une intervention internationale, ce que nous pousse à exprimer notre regret de cette situation à laquelle on est arrivé", a signalé al-Jaafri.

Al-Jaafri a cité une phrase prononcée il y a 22 ans par l'ancien secrétaire d'Etat US à la Justice, Ramzy Clarks, selon lui "les Nations unies qui ont été fondées pour empêcher l'encouragement des guerres sont devenues un outil de la guerre".

Al-Jaafri a salué les efforts déployés par les pays qui défendent les droits des peuples, entre autres celui d'être à l'abri d'une intervention étrangère.

Il a dans ce contexte critiqué la politique de certains pays qui cherchent à s'emparer de la position géographique et des richesses naturelles d'un pays en voie de développement afin de résoudre les problèmes économiques des pays occidentaux.

"L'histoire va se rappeler des positions honorables des pays qui défendent la sécurité et la paix internationales", a-t-il souligné.

"N'est-il pas étrange que le Conseil de Sécurité ait adopté moins de 690 résolutions seulement depuis sa création en 1945 jusqu'à 1988 et que ce chiffre a triplé au cours des 20 ans suivants?!", s'est demandé al-Jaafri, jugeant que le monde manque aujourd'hui de justice et de sécurité et que la Charte des Nation unies est devenue gravement menacée.

"La Syrie, un pays fondateur de cette organisation internationale, est punie à cause son engagement à respecter la légalité internationale…elle est en proie à une crise engendrée par des parties qui ne veulent pas le bien de la Syrie en appuyant des groupes armés qui terrorisent les gens et sapent les infrastructures, y compris les gazoducs et les voies ferrées", a-t-il critiqué.

"Y a-t-il un sage qui croit qu'un gouvernement d'un pays quelconque puisse commettre des massacres dans l'une de ses ville à un jour où le Conseil de Sécurité tiendra une réunion pour examiner la situation dans ce pays ?!", s'est demandé al-Jaafri, ajoutant que les massacres et les destructions ayant ciblé aujourd'hui des civils, des maisons et des ambassades syriennes dans nombre de capitales reflète la nature criminelle des groupes armés.

A ce sujet, al-Jaafri a critiqué que ces actes agressifs ne soient condamnés ni par le secrétaire général, ni par le Conseil de Sécurité.

Par ailleurs, il a lu le paragraphe n° 73 du rapport de la mission des obsevateurs arabes, lequel affirme la coopération de la partie syrienne avec la mission.

Al-Jaafri s'est dit étonné que des appels à la réforme et au respect des droits de l'Homme soient lancés uniquement à la Syrie sans les autres pays de la région, notamment ceux qui ont adopté le projet de résolution. "Est-il possible que parmi les pays qui adoptent le projet de résolution contre la Syrie, figure un pays qui interdit aux femmes d'assister à un match de football alors qu'il appelle la Syrie à être démocratique ?!", s'est encore demandé al-Jaafri.

"La Syrie est pour le dialogue, or certaines parties appuyées par des pays régionaux et internationaux s'y opposent", a dit al-Jaafri, ajoutant que tout manifestant pacifique est un partenaire bienvenu et une partie intégrante du processus de réforme.

"On espère que les parties qui appuient toujours les groupes armés donnent des conseils à leurs amis afin de participer au dialogue national et d'établir une Syrie renouvelée", a-t-il dit. "En Syrie il n'y a pas de majorité, ni de minorité…la Syrie est la patrie de tous les Syriens", a affirmé le délégué de Syrie auprès des Nations unies.

"L'ambassadrice des Etats-Unis a dit avoir éprouvé de la répugnance du fait que deux membres permanents aient utilisé de leur veto. Je n'évalue pas ici ce qu'elle a dit, je respecte son opinion, mais je veux lui demander est-ce que cette répugnance a été sentie lors de l'usage auparavant de 60 veto pour empêcher l'instauration de la paix juste et globale dans la région, régler le conflit arabo-israélien et trouver une solution à la Crise palestinienne", a fustigé al-Jaafri.

Il également critiqué des intentions hostiles chez certain pays à l'égard de la Syrie, peuple et gouvernement, indiquant que les déclarations diplomatiques de leurs responsables d'étaient pas en harmonie avec les principes du droit international en qualifiant le système de gouvernance en Syrie de "régime" et en s'adressant au chef de l'Etat par des expressions indignes. "De tels propos reflètent leur implication dans l'attisement de la crise en Syrie", a-t-il estimé.

De son côté, le délégué de Russie auprès des Nation unies, Vitali Tchourkine, a estimé que le Conseil de Sécurité n'a pas joué son rôle dans l'envoi d'un message équilibré au peuple syrien. M. Tchourkine a indiqué que le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, se rendrait en Syrie le 7 du mois en cours afin d'appuyer la solution politique dans le pays.

Pour sa part, le délégué de Chine auprès du Conseil, Li Baodong, a affirmé la nécessité de respecter la souveraineté, la stabilité et l'intégrité territoriale de la Syrie.

Il a aussi appelé à trouver une solution politique à laquelle toutes les parties prennent part.

A signaler qu'à l'issue de la séance du Conseil de Sécurité, des citoyens syriens se sont rassemblés devant les ambassades de Russie et de Chine à Damas, ainsi qu'à la place de Sabé Bahrate à Damas, en signe de gratitude des positions de Moscou et de Pékin.

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:15

Le réseau syrien des droits de l'homme: Traduire en justice toutes les organisations qui ont adopté de fausses informations sur la Syrie

04 Fév 2012

 

Damas / Le réseau syrien des droits de l'homme a averti les deux organisations Amnesty internationale et Human Rights Watch, du danger de l'adoption de faux rapports qui ne se caractérisent pas de crédibilité et d'objectivité concernant les développements en cours en Syrie.

Un communiqué publié aujourd'hui par le réseau indique que si ces deux organisations continuent à diffuser de fausses informations sur la Syrie, elles seraient éventuellement traduites en justice devant la Cour pénale internationale en vertu des articles N.7 et N.25 du statut de Rome.

Le communiqué souligne la nécessité de clarifier la vérité de la conjoncture en Syrie à travers des rencontres internationales à haut niveau, surtout que la Syrie subit actuellement un complot qui vise son unité nationale et son rôle clé dans la région.

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