Union Européenne - La trahison de l'idéal européen par les extrémistes et autres adorateurs du Marché.
UE: un taux de chômage record parmi les jeunes (Eurostat)
Le taux de chômage des jeunes a atteint un niveau record dans l'Union européenne, plus de 30% des jeunes de moins de 25 ans n'ont pas d'emploi dans huit pays de l'UE, a annoncé mercredi Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne.
"En décembre 2011, 5,493 millions de jeunes de moins de 25 ans étaient au chômage dans l'UE27, dont 3,290 millions dans la zone euro", a indiqué Eurostat dans un communiqué.
En décembre dernier, le taux de chômage des jeunes s'est élevé à 22,1% dans l'ensemble de l'Union européenne et à 21,3% dans la zone euro, selon l'office.
Par rapport à décembre 2010, le nombre de jeunes chômeurs a augmenté de 241.000 dans les vingt-sept pays de l'UE et de 113.000 dans la zone euro.
Les taux de chômage des jeunes les plus élevés ont été observés en Espagne (48,7%), en Grèce (47,2% en octobre 2011) et en Slovaquie (35,6%), et les taux les plus bas en Allemagne (7,8%), en Autriche (8,2%) et aux Pays-Bas (8,6%).
En général, le taux de chômage s'est établi à 10,4% (16,469 millions de chômeurs) dans la zone euro en décembre 2011. Il était de 10% en décembre 2010. Quant à l'ensemble de l'UE, le taux de chômage s'est élevé à 9,9% (23,816 millions de sans emplois) en décembre dernier, contre 9,5% en décembre 2010.
Parmi les Etats membres de l'UE, les taux de chômage les plus élevés ont été enregistrés en Espagne (22,9%), en Grèce (19,2% en octobre 2011) et en Lituanie (15,3% au troisième trimestre 2011) et les taux les plus bas en Autriche (4,1%), aux Pays-Bas (4,9%) et au Luxembourg (5,2%).
KCNA Commentary: 'U.S. Pacific Century' and Korean Peninsula
Pyongyang, January 30 (KCNA) -- The U.S. recently made public a new defense strategy the keynote of which is to maintain its "position as a world leader".
Timed to coincide with this, the U.S. military warlike forces made the story about "provocation and threat" from the DPRK an established fact, talking about "worst scenario" and "uncertainty".
What does this mean?
The Asia-Pacific region is now becoming a center of world forces.
The U.S. is keen to make the 21st century a "U.S. Pacific century" in a bid to emerge an emperor of the world.
The "U.S. Pacific century" is, in essence, a new version of the U.S. foreign policy to monopolize the political and economic interests in Asia-Pacific region.
In a word, the U.S. announcement of its new defense strategy is aimed at formally spelling out a war strategy of putting importance to Asia-Pacific and directing its spearhead to the DPRK and China.
Its goal is to intensify the military infiltration and interference in the region by sparking a crisis and escalating the tension on the Korean Peninsula. Its ultimate purpose is to pressurize China, its biggest strategic rival, by force of arms and control Asia-Pacific and keep world supremacy.
It is part of the U.S. scenario that it is providing military support and encouragement to south Korea, Japan and other allies, while overstating "threat" from the DPRK.
The dangerous and reactionary nature of the U.S. new defense strategy lies in its moves to deter other powers from exercising their influence over the region and enlarging their beat by force and build an order of U.S.-led imperialist domination.
The U.S. unlimited imperialist greed and military adventures are posing a grave menace to peace and stability in the region and increasing the danger of a new Cold War there.
The U.S. is seriously mistaken if it thinks it can make the 21st century a U.S.-led 'Pacific century" from an outdated hegemonic viewpoint.
The U.S. would be well advised not to forget the historical fact that it drank a bitter cup of defeat in Korea last century.
Source: KCNA
LE BILLET DE FABRICE BEAUR - Secrétaire-général du PCN-NCP.
PREPARATION D’UNE REVOLUTION DE COULEUR EN RUSSIE (30/01/2012)
Selon McFaul, le nouvel ambassadeur des USA à Moscou, « Washington ne prépare pas de révolution en Russie. »
Que dire alors du dernier commentaire du département d'Etat US qui déclare être « déçu » du rejet de la candidature de Iabloko à la présidentielle de mars prochain et qui indique comment doit-on procéder en Russie pour appliquer la Loi : « Une élection ouverte implique que la loi électorale soit appliquée équitablement à tous les partis et candidats (...) Les Russes, comme les Américains et les autres peuples, veulent des élections transparentes, libres et justes et un choix authentique. »
Blablabla ! La NED et l'USAID et autres « fondations » truche-muche financent toujours des mouvements d'opposition (quoi qu'on puisse penser d'eux). La stratégie des neocons d'encerclement est toujours à l'œuvre. L'ABM, c'est pour les imbéciles peut-être ?
Géopolitiquement (donc en dehors de toute considération politique ou morale, les USA ne veulent pas voir l'union de l'Europe de l'Ouest (UE) avec l'Europe de l'Est (Fédération de Russie aujourd'hui et Union eurasienne demain).
Ils font donc tout pour affaiblir l'Etat russe. La « démocratie », les « élections » etc ... ce n'est que pour la galerie. Car la répression des manifestants anti-Wall-Street aux USA démontre que tout cela n'est que du théâtre.
Idem pour l'UE qui donne des leçons de démocratie mais qui ont peur de consulter les peuples sur leur traité qui trahit l'indépendance de l'Europe (obligation d'une économie ultra-libérale et d'adhésion à l'OTAN). Ils ne sont pas en reste, eux aussi, pour critiquer sans cesse les institutions russes.
En effet, la responsable de la mission d'observation électorale de l'OSCE en Russie, Heidi Tagliavini, a estimé jeudi dernier que « la promesse de Vladimir Poutine d'installer des web-caméras dans tous les bureaux de vote ne garantissait pas l'absence de fraude lors de la présidentielle. »
Question : y-a-t-il des caméras dans tous les bureaux de vote dans les pays occidentaux ? Ayant été observateur lors des dernières élections législatives russes du 4 décembre dernier, je rassure l’OSCE, cette belle-de-jour (et de nuit) de l’OTAN, je puis certifier qu’après le dépouillement en présence de tous les observateurs des partis politiques, ceux-là même signent le compte-rendu et autres documents officiels qui certifient à cette étape la validité de la procédure.
L’OSCE dont les « observateurs » restent bien confortablement à Moscou ou St-Petersburg, contrairement aux observateurs neutres et indépendants d’EODE (*) par exemple qui furent présent à Moscou, en Sibérie et dans le Sud de la Russie.
L’OSCE n’est là que pour valider ce qui a été décidé par avance quoi que fasse le Kremlin. L’objectif n’est pas l’observation mais la contestation systématique, un acte d’agression politique.
Donc, nous savons ce que tu veux faire McFaul ! Ne te fatigue pas à continuer à nous prendre pour des imbéciles ! CQFD !
Fabrice BEAUR
(*) EODE - Eurasian Observatory for Democracy and Elections - Mission for the Russian Duma Elections 2011 https://www.facebook.com/pages/EODE-Mission-for-the-Russian-Duma-Elections-2011/108397975945364
Devant la Commission électorale régionale à Krasnodar, le dimanche 4 décembre 2011, à l'occasion de ma Mission d'Observation des élections pour le compte de l'Eurasian Observatory for Democracy and Elections, EODE, ONG neutre et indépendante.
ADDIS ABEBA - La Chine offre à l'Union africaine son nouveau siège et marque son empreinte en Afrique.
Le nouveau siège de l'Union africaine à Addis Abeba le 24 janvier 2012 Jenny Vaughan afpADDIS ABEBA - La Chine a offert samedi à l'Union africaine son nouveau siège, un impressionnant bâtiment de verre et d'acier qui domine Addis Abeba et témoigne de l'empreinte économique et politique de plus en plus profonde laissée par le géant asiatique sur le continent noir.
"Ce gigantesque complexe en dit long sur notre amitié envers les peuples africains et porte témoignage de notre entière détermination à aider l'Afrique dans son développement", a déclaré Jia Qinglin, membre du comité permanent du bureau politique du Parti communiste chinois, avant de remettre symboliquement les clés de l'édifice aux responsables de l'UA.
La Chine a construit en moins de deux ans et demi le nouveau complexe, et payé la totalité des coûts pour un total de 200 millions de dollars (154 M EUR), mobilier compris. L'UA y dispose désormais de plusieurs salles de conférence dont une d'une capacité de 2.500 personnes, d'un amphithéâtre extérieur de 1.000 places, d'un centre commercial, d'un héliport et de bureaux pouvant accueillir 700 fonctionnaires.
A la tribune du nouvel hémicycle de bois clair au toit de verre, les dirigeants africains se sont succédés pour remercier la Chine en la personne de M. Jia, numéro quatre du régime, invité d'honneur de la cérémonie ainsi que du 18e sommet de l'UA convoqué dimanche et lundi.
Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, président en exercice de l'UA, a proposé que ce sommet adopte "une motion de remerciement et de gratitude envers la République populaire de Chine pour ce merveilleux bâtiment".
"La Chine, avec son extraordinaire réémergence et son attachement à un partenariat gagnant-gagnant, est une des raisons derrière le début de renaissance africaine", a estimé le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, dont le pays a accueilli les institutions de l'Organisation de l'unité africaine devenues depuis 2002 celles de l'Union africaine.
M. Meles Zenawi a estimé que l'émergence économique de l'Asie, et en particulier de la Chine, "avait donné l'occasion à l'Afrique de construire et de reconstruire ses partenariats", reprochant au monde occidental d'avoir précipité l'affaiblissement économique du continent et d'avoir ensuite été tenté de le "recoloniser".
Si "la mauvaise gouvernance" a été à l'origine de bien des maux africains, "le fait qu'on nous ait donné des médicaments qui se soient révélés pire que le mal n'a pas aidé", a-t-il estimé en référence à l'aide occidentale.
La Chine "premier partenaire commercial" de l'Afrique
M. Jia, lui, a souligné que la Chine était devenue "le premier partenaire commercial de l'Afrique avec 150 milliards de dollars, soit 10% du total du commerce extérieur chinois", et que plus de deux mille sociétés chinoises avaient désormais investi 13 milliards de dollars sur un continent dont la population a dépassé le milliard d'habitants.
Du Sud-africain Jacob Zuma à l'Ivoirien Alassane Ouattara, en passant par le Nigérian Goodluck Jonathan, le Soudanais Omar el-Béchir, le Sud-Soudanais Salva Kiir, les dirigeants africains étaient venus nombreux assister à l'inauguration, sur fonds de tambours et de danses folkloriques.
Le siège de l'UA est "sans doute le plus haut de Addis", a relevé le président de la Commission de l'UA Jean Ping, avec une hauteur de 113 mètres selon ses services.
L'empreinte de Pékin y apparaît un peu partout en filigrane, dans une pierre traditionnelle chinoise qui décore un jardin d'apparat, dans la signature gravée dans la pierre d'entrée ("avec l'aide du gouvernement de la république populaire de Chine"), voire dans le choix des canaux de traduction simultanée, le chinois s'étant vu attribuer le premier canal, et l'anglais le second.
Une statue en bronze de Kwame Nkrumah, ancien président du Ghana et chantre de l'unité africaine, a été inaugurée ainsi qu'un mémorial des Droits de l'homme de l'Union africaine.
Les chefs d'Etat africains qui ouvriront dimanche à partir de 07H00 GMT leur 18e sommet auront auparavant été invités à planter un arbre devant le nouveau siège, hommage posthume à Wangari Maathai, la militante écologiste kényane et prix Nobel de la Paix, décédée l'an dernier.
Source : AFP
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Pékin peaufine son image en Afrique
Par Arnaud de La Grange Mis à jour le 29/01/2012 à 20:55 | publié le 29/01/2012 à 20:47 Réagir
En offrant à l'Union africaine (UA) son nouveau siège, la Chine marque spectaculairement sa montée en puissance sur le continent africain. Édifié au cœur d'Addis-Abeba, le bâtiment est entré en fonction dimanche, pour le lancement du 18e sommet de l'organisation africaine. Le cadeau chinois à l'Afrique n'est pas mesquin. Avec ses trente étages, culminant à une centaine de mètres, le nouveau siège de l'UA a coûté plus de 150 millions d'euros. Il aligne trois centres de conférences, des bureaux pour 700 envoyés des 54 États membres, un héliport. Dans sa générosité, Pékin a financé jusqu'au mobilier.
Lors de l'inauguration, Jia Qinglin, n°4 du régime chinois, a souligné que la Chine était désormais le premier partenaire commercial de l'Afrique. Avec des échanges qui se sont élevés à 150 milliards de dollars l'en 2011, contre à peine 20 milliards dix ans plus tôt. Selon le ministère du Commerce, les investissements chinois en Afrique ont augmenté de 58,9% en 2011, s'élevant à 1,7 milliard de dollars.
Début janvier, le ministre des Affaires étrangères, Yang Jiechi, a comparé l'Afrique à une «mine d'or» pour les investissements étrangers. Les dirigeants chinois s'évertuent à dire qu'ils ne viennent pas uniquement «pomper» les matières premières - pétrole, surtout, et minerais-, mais qu'ils veulent être un partenaire global et équilibré de l'Afrique. Les dons et crédits accordés au continent aident à huiler le discours. «La relation entre la Chine et l'Afrique devient plus multiforme, plus compliquée, commente Jean-Pierre Cabestan, de la Baptist University de Hongkong. Elle est d'ailleurs moins gérée exclusivement par l'État, avec de grosses sociétés chinoises ou des petits entrepreneurs qui jouent leur propre jeu.» Cette poussée chinoise suscite des réactions contrastées. Certains saluent une manne financière presque inespérée. Un rapport de la Banque mondiale, en 2008, a d'ailleurs reconnu l'apport chinois dans le développement des infrastructures en Afrique, surtout dans des régions où les Occidentaux se sont désinvestis.
Rapt de 29 Chinois au Soudan
Mais d'autres reprochent aux Chinois de vivre en autarcie, en faisant venir plusieurs milliers de nationaux pour leurs chantiers attirant ainsi des cohortes de commerçants chinois qui fragilisent ou tuent l'économie locale, notamment le secteur du textile.
Le Tchad offre une illustration de ces rapports parfois difficiles entre le géant chinois et les petits États africains. Il y a dix jours, un différend sur les prix du carburant entre les autorités tchadiennes et la compagnie pétrolière chinoise CNPCI a entraîné la fermeture de la raffinerie construite par cette dernière il y a six mois. Ce qui est nouveau, c'est l'implication politique à laquelle les Chinois se trouvent de plus en plus contraints, souvent bien malgré eux. On vient de voir, chose impensable il y a encore peu, Pékin s'impliquer dans une médiation entre les deux Soudan, qui s'affrontent autour de la rente pétrolière.
En engrangeant les bénéfices de l'internationalisation, la Chine découvre aussi ses dangers. Elle a annoncé dimanche que 29 employés chinois travaillant à la construction d'une route avaient été enlevés par une faction du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), dans le Sud-Kordofan. Avant cela, en Libye, Pékin avait dû procéder à l'évacuation de plus de 30.000 ressortissants et passer sur ses principes diplomatiques pour prendre langue avec des rebelles.
Pour améliorer son image en Afrique, la Chine vient de lancer un décrochage africain de sa télévision officielle CCTV-News. Ce centre de production d'une centaine de personnes, installé à Nairobi, est symboliquement le premier du genre hors de Chine.
Source : Le Figaro
El presidente de la República Ollanta Humala Tasso inició hoy su segunda día de actividades en Davos asistiendo a un desayuno de trabajo con altos ejecutivos de empresas interesadas en invertir en nuestro país.
La cita se realizó en la sala de conferencias del Hotel Victoria.
El jefe de Estado inició su exposición presentando al Perú como un país con clima favorable para las inversiones y negocios.
Asimismo, resaltó las oportunidades que existen hoy en nuestro país para invertir en los sectores de infraestructura, energía y agricultura.
Davos, 28 de enero de 2012
Nota de Prensa Nº 376.
En el marco de su participación en el Foro Económico Mundial de Davos, el presidente de la República Ollanta Humala asistió a la Sesión Plenaria "Perspectivas Económicas Mundiales en el 2012".
La cita de trabajo se realizó a las 11.00 horas (05.00 en Lima) en el Congress Centre.
El jefe de Estado estuvo acompañado de los ministros de Economía, Luis Miguel Castilla y del Canciller de la República, Rafael Roncagliolo.
Previamente, el mandatario participó en un desayuno de trabajo con empresarios interesados en invertir en el Perú, ante quienes afirmó que nuestro país cuenta con un clima favorable para los negocios en sectores como infraestructura, energía y agricultura.
Asimismo, asistió a la Reunión Informal de Líderes de las Economías Mundiales.
Davos, 28 de enero de 2012
Nota de Prensa Nº 377
En Palacio de Gobierno
La Primera Vicepresidenta de la República y encargada del Despacho Presidencial, Marisol Espinoza, se reunió esta tarde en Palacio de Gobierno con autoridades de la Mancomunidad Municipal Awajún y Wampis de la región Amazonas.
En el Salón Dorado de la sede del Ejecutivo la Primera Vicepresidenta recibió al alcalde provincial de Condorcanqui, Edwin Timias Mateca; a los alcaldes distritales de El Cenepa, Manuel Díaz Nashap; y de Río Santiago, Ricardo Navarro Rojas; y al gerente general de la Mancomunidad Municipal Awajun – Wampis, Michael Salas Vega.
Durante la reunión, los integrantes de la Mancomunidad Municipal expresaron su agradecimiento al gobierno por la promulgación de la Ley de Consulta Previa a los Pueblos Indígenas u Originarios realizada el pasado mes de setiembre en la provincia de Bagua.
Asimismo, manifestaron a la Vicepresidenta los avances en cuanto a los compromisos acordados en la reunión que sostuvo hace algunos meses el jefe de Estado Ollanta Humala, ministros de Estado y autoridades de la región Amazonas encabezadas por su presidente Regional.
Por su parte, la encargada del Despacho Presidencial ratificó el compromiso del gobierno central de trabajar por lo más necesitados del país y a favor del desarrollo y la inclusión social.
Culminada la reunión de trabajo, la encargada del Despacho Presidencial saludó y dio la bienvenida a una delegación de 14 autoridades nativas, entre ellas los alcaldes de Pampaentsa, Vilson Ampush Nunig; de Shaim, Joaquin Juwaw Sejekam; y de Kusukubaim, Gabriel Kajikui Chui.
Asimismo, a la administradora MAWAMPI, Carmen Esther Sánchez Cama; la Gerente de Asuntos Sociales MAWAMPI, Nancy Fernández Paredes; el coordinador provincial MAWAMPI Elver Gómez Requejo; y diversos regidores y representantes de las comunidades nativas.
Lima, 27 de enero de 2012
Nota de Prensa Nº 0374
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