L'instigateur de l'appel à manifester sur Facebook Oussama El Khlifi (à droite) lors d'un rassemblement à Rabat le 6 mars 2011
L'instigateur de l'appel à manifester sur Facebook Oussama El Khlifi (à droite) lors d'un rassemblement à Rabat le 6 mars 2011
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté pacifiquement, hier dans des villes du Maroc, pour la troisième fois depuis le début de l’année, pour réclamer davantage de démocratie et de justice sociale, malgré la récente libération par le roi Mohammed VI de prisonniers politiques et sa promesse d’importantes réformes. A la mi-journée, une dizaine de milliers de personnes ont défilé au centre de Casablanca à l’appel du Mouvement du 20 février, qui revendique des changements politiques et sociaux. «Nous voulons plus d’égalité et moins de corruption»,«Non au cumul de la fortune et du pouvoir», «Pour un roi qui règne mais ne gouverne pas», scandaient les manifestants. A Marrakech, ils étaient plus de 500 et, à Tanger, plus de 2 000 manifestants ont aussi appelé au départ du maire de la ville, Fouad el-Omary, et critiqué sa gestion.
LA RÉFORME DE LA CONSTITUTION
Depuis son installation, la commission pour la réforme constitutionnelle a reçu les partis politiques qui lui ont présenté des propositions allant vers une limitation des pouvoirs politiques du roi, la plupart d’entre eux étant favorables au maintien de son statut religieux. La commission devrait achever ses travaux le 15 juin et remettre ses conclusions au roi.
Le 9 mars, le roi Mohammed VI, dans un long discours, a annoncé d’importants changements politiques visant notamment à renforcer l’indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs. Il a mis en place, dès le lendemain, une commission pour la réforme de la Constitution présidée par le juriste Abdeltif Menouni.
Ce jeune homme de 23 ans est l’un des premiers à avoir critiqué le régime à visage découvert. Surnommé «le Che de Salé», il participait hier à la troisième journée de manifestation nationale.
L'instigateur de l'appel à manifester sur Facebook Oussama El Khlifi (à droite) lors d'un rassemblement à Rabat le 6 mars 2011.
Au feutre noir, il a écrit en grosses lettres : «Je fais ce que je veux et tant pis pour eux.» La révolte d’Oussama el-Khlifi se lit d’abord sur ses murs. Des messages en arabe et en français aussi naïfs que véhéments et qu’il ne veut surtout pas qu’on photographie. Il craint que ses compatriotes ne le jugent trop sévèrement pour ces «tags». Barbe de trois jours et voix éraillée à force de scander, Oussama, 23 ans, reçoit dans sa chambre, dans le petit appartement propret où il vit avec son père et sa grand-mère, à Salé, distant de quelques kilomètres de Rabat, à la fois plus grand et plus pauvre que la capitale. Murs crème couverts des coups de colère d’Oussama, une photo du petit garçon encore sage, un lit, un placard, une grande fenêtre et un ordinateur. C’est dans cette chambre que le jeune homme passait le plus clair de son temps il y a encore trois mois. A surfer sur Internet, regarder les images des révolutions tunisienne et égyptienne, tchater sur Facebook et chercher du travail. Depuis un peu plus d’un an, ce titulaire d’un diplôme en informatique est au chômage. «C’est presque impossible dans ce pays de trouver un travail sans piston», lâche-t-il, tout en égrenant rapidement les différents petits boulots qu’il a enchaînés. Vendeur pour une entreprise de matériel informatique, employé de centre d’appel, etc. Rien de très palpitant.
«Exception». Oussama s’allume une cigarette. Tout cela lui semble loin désormais. Car depuis trois mois il est partout sauf ici, dans sa chambre. Dans les manifs, les sit-in, les réunions et… sur bon nombre de couvertures de journaux. Casquette ou béret sur la tête et keffieh palestinien autour du cou. Toujours. Quand on lui parle de sa notoriété soudaine, il sourit sans rien dire. Mais une petite lueur de plaisir passe dans ses yeux. Oussama el-Khlifi n’est ni le plus prolixe ni le plus francophone des contestataires du «mouvement du 20 février», nommé d’après la date de la première grande manifestation au Maroc. Au contraire, à l’image de sa génération, c’est en arabe et derrière un écran d’ordinateur qu’il est le plus à l’aise. Fin janvier, c’est là qu’il décide de s’impliquer. Il est l’un des premiers à poster une vidéo sur laquelle il appelle, à visage découvert, à manifester pour un changement de la Constitution et plus de démocratie au Maroc. «J’ai vu les jeunes en Tunisie, en Egypte, et je me suis dit que le Maroc n’est pas une exception et que chez nous aussi il y a beaucoup de choses à changer», raconte-t-il de sa voix cassée en expliquant : «Je voulais casser la peur.»
Peur de quoi ? Le Maroc est régulièrement salué pour sa relative liberté d’expression par rapport à ses voisins. «Peur du régime, peur d’avoir des problèmes avec la police, car tu peux critiquer le gouvernement mais pas la monarchie», précise Oussama, rappelant les menaces qu’il a subies à plusieurs reprises ces dernières semaines lors d’interpellations par les forces de l’ordre ou par des inconnus sur son téléphone. Il rallume une cigarette. Et raconte aussi cette garde à vue il y a moins d’un an, «le déclencheur de ma contestation», dit-il. Soixante-douze heures passées au commissariat pour avoir critiqué la participation au gouvernement d’un ministre de l’Union socialiste des forces populaires, parti dont il est aussi membre. Mais tout cela, aussi, est loin désormais.
Depuis cette vidéo postée sur YouTube et la première grande manifestation le 20 février, le roi Mohammed VI a fait un discours, promis une réforme de la Constitution, nommé une commission chargée de rédiger ce nouveau texte, et la parole s’est libérée. Au point que même les médias d’Etat se sont mis à revendiquer plus de liberté d’expression. Les tabous tombent, mais ce n’est pas assez. Pour Oussama, il n’est pas encore temps de s’arrêter de manifester. Nouvelle cigarette. Il n’a pas confiance. «On ne veut pas de promesses, martèle-t-il, son blouson toujours sur le dos, comme s’il était prêt à ressortir dans la minute. On veut un changement radical, pas un simple lifting de la Constitution. Il faut continuer à manifester.»
Le père d’Oussama, l’air taciturne sous son béret noir, intervient. Installé dans la pièce d’à côté, il ne perd pas une miette de la conversation de son fils. Abdelatif el-Khlifi est policier. «Gardien de la paix depuis vingt-sept ans», rectifie-t-il. Depuis qu’Oussama a commencé à s’engager avec une dizaine d’autres jeunes pour demander une monarchie parlementaire au Maroc, il n’a eu que des problèmes. «Au début, on m’a promis de l’avancement si je faisais en sorte que mon fils ne manifeste pas le 20 février, raconte-t-il. Ensuite, on m’a menacé de le condamner à dix ans de prison. Mais qu’est-ce que je peux faire ? Mon fils à 23 ans ! Et puis, il n’a rien fait d’illégal ! C’est ça, la liberté d’expression ? C’est ça la démocratie ?» Le 20 février, date de la grande manifestation, est passé. Le fils n’a pas été condamné mais début mars le père a été «mis à pied sur ordre du préfet». Il continue d’aller au commissariat mais aucune mission ne lui est confiée. Le père fulmine, mais pour lui c’est la preuve que le Maroc peut mieux faire en termes de démocratie. «Ce que je n’ai pas pu faire, Oussama le fait, le temps est venu : il nous faut plus de démocratie, de liberté et de justice, analyse-t-il. Je crois en la sincérité des promesses du roi. Le problème, c’est son entourage, tout le monde n’est pas intéressé à ce que les choses changent.»
Hôpital. La grand-mère d’Oussama, venue apporter le thé à la menthe, acquiesce. Née en 1943, elle a vécu sous les trois rois : Mohammed V, Hassan II, puis Mohammed VI. «Il y a trop de problèmes», affirme-t-elle, installée sur le canapé à fleurs du salon. Zineb dénonce le chômage des jeunes et la corruption au quotidien. «A chaque fois que tu vas quelque part pour régler un problème, il faut que tu donnes de l’argent. Tu donnes, tu donnes : au responsable du quartier, au chef de l’arrondissement. Les autorités locales sont les plus corrompues. Et, quand tu vas à l’hôpital pour être soigné, c’est la même chose. Tu ne trouves rien à moins de payer. Même quand tu y vas pour accoucher, on te réclame de l’argent. On n’a personne à qui s’adresser, il faut écouter les jeunes», poursuit-elle.
Trois générations, trois combats. La lumière traverse les rideaux pour se poser sur la table basse. Oussama poursuit. «On ne s’arrêtera de manifester que quand on aura une véritable monarchie parlementaire, une véritable indépendance de la justice. Il faut maintenir la pression», répète-t-il comme pour mieux convaincre. Hier, il était à nouveau dans la rue, à Rabat, pour la troisième manifestation à l’échelle nationale. Défiler puis reprendre les réunions dans le pays. A Agadir dans le sud, à Oujda dans l’est, à Larache dans le nord, partout, rencontrer les membres du mouvement du 20 février. Car rien n’est gagné. Chaque jour, c’est un travail d’équilibriste pour que les jeunes de gauche, d’extrême gauche mais aussi d’associations islamistes réussissent à s’unir autour des mêmes mots d’ordre et restent convaincants. Mais Oussama a tout son temps. Il sait que dans les prochains mois aucun employeur ne voudra de lui, le «Che Guevara de Salé», comme l’ont surnommé certains journaux.
Dirigentes de FS afirman que en actual coyuntura no se puede ser neutral
El candidato presidencial de Gana Perú, Ollanta Humala, recibió esta noche el respaldo del Partido Descentralista Fuerza Social (FS) a su candidatura para la segunda vuelta electoral.
“Recibimos este apoyo con mucha humildad. Es importante sumar todo esfuerzo, toda colaboración, para afirmar la democracia”, afirmó tras reunirse en su local partidario de San Isidro con los dirigentes de FS, Eduardo Zegarra y Gustavo Guerra García.
Los dirigentes de la agrupación que ganó la alcaldía de Lima en los comicios municipales del 2010, afirmaron que luego de un debate interno decidieron apoyar en la segunda vuelta al proyecto nacionalista para no retornar al pasado y al peligro que significa para el país, un régimen que no respeto la democracia, ni los derechos humanos.
“No podemos ser neutrales. Tenemos la plena convicción del peligro que significa para el país y para la posibilidad de hacer una gestión pública exitosa. La sombra de la corrupción no permite hacer los cambios que el Perú necesita” afirmaron.
Precisaron que Perú enfrenta el peligro del retorno de las mismas personas que ejercieron el poder en una década donde se corrompió al Poder Judicial, donde se sojuzgo a los Medios de Comunicación, donde se maltrato y destruyó a las principales instituciones democráticas del país. “No estamos dispuestos a transar con ello” expresaron.
Ollanta agradeció la decisión de la militancia de FS y dijo que el cinco de junio no sólo se elige al presidente de la República sino qué tipo de democracia queremos, una democracia real, plural, o lo que ya hemos vivido en la década del 90.
Se reunió con alcaldes
El candidato presidencial de Gana Perú, también se reunió con los alcaldes de la Red de Municipalidades Urbanas y Rurales del Perú (REMURPE) a quienes reiteró el respeto a la autonomía de los gobiernos locales.
En este sentido el líder nacionalista se comprometió a trabajar de la mano con todos los alcaldes, para mejorar la distribución de la riqueza.
Ollanta Humala consideró muy importante trabajar con los alcaldes para solucionar los conflictos sociales porque son las autoridades municipales las que conocen la realidad de su provincia o distrito.
Precisó que uno de los problemas que enfrentan las municipalidades es la viabilidad de los proyectos de inversión.
“Para las municipalidades del interior del país el problema es que el SNIP (Sistema Nacional de Inversión Pública) se hace desde Lima y no contempla la realidad de las zonas rurales” dijo, por lo que anunció que en un eventual gobierno de Gana Perú el SNIP se trabajará con los gobierno regionales.
El dirigente de REMURPE y alcalde de la Provincia de Huancabamba, Piura, Wilson Ramiro Ibañez Ibañez, agradeció a Ollanta el haberlos recibido para escuchar sus propuestas y demandas para el desarrollo de sus pueblos.
En otro momento de sus declaraciones el líder nacionalista negó que Estaban Silva sea su nuevo asesor. “A él lo conozco, sé que fue asesor del gobierno del señor Toledo, pero no es cierto que me asesore”, sentenció.
Lima, 25 de abril de 2011
Líder nacionalista afirma que son puntos no negociables en diálogo con líderes políticos
El candidato presidencial de Gana Perú, Ollanta Humala, afirmó que los programas “Pensión 65”, “Cuna Más”, el aumento del salario básico a 750 nuevos soles, la prioridad del gas para el consumo nacional y la ampliación de los programas sociales, son puntos considerados no negociables en el diálogo que vienen sosteniendo con las demás fuerzas políticas.
El líder nacionalista dijo que en este diálogo están dispuestos a hacer concesiones, pero no en los puntos y programas que permitan la justa distribución de la riqueza.
Destacó también la ejecución de políticas públicas como la revolución educativa, seguro universal de salud, infraestructura y seguridad ciudadana.
Ollanta asumió también la defensa del compromiso de Gana Perú suscrito con el pueblo peruano en el cual se precisan las medidas del plan de gobierno y cómo va a actuar dentro del marco democrático.
Precisó que si bien ningún plan de gobierno logró la mayoría absoluta en la primera vuelta electoral, el mensaje del elector es llegar a un consenso con las demás fuerzas políticas del país para buscar puntos de coincidencias y donde hay divergencias conversar para resolverlas en el Congreso.
Sobre el tema del cambio de constitución Ollanta descartó de plano la posibilidad de cerrar el Congreso como ocurrió en la década del 90 donde se elaboró una constitución con fines reeleccionistas.
“Se pueden hacer reformas a algunos capítulos de la Constitución, eso será debatido dentro el Congreso; cada bancada presentará sus propuestas y si no hay consenso se buscarán otros mecanismos en el poder Legislativo”, sostuvo el candidato presidencial.
Indicó que en las conversaciones que ha sostenido hasta el momento con los diversos líderes políticos han coincidido en que es necesario dar estabilidad política al país, para no continuar con la política de exclusión social donde una gran mayoría no se beneficia del crecimiento económico y eso crea conflictos sociales.
Pensión 65
El candidato presidencial reiteró que Pensión 65 es perfectamente financiable y no se pagará con los fondos de pensiones de la AFPs. “Esa afirmación es parte de la campaña del miedo para desprestigiar la propuesta nacionalista”, manifestó.
La ejecución de “Pensión 65” –explicó Ollanta- no llega al 0.8% del Producto Bruto Interno, así que es perfectamente viable y se financiará con los recursos provenientes de una reforma tributaria y del combate a la evasión y elusión tributaria.
“Hay grupos económicos a los que no les conviene que exista este programa y eso sí debe preocuparnos porque hay un millón y medio de peruanos que trabajaron toda su vida y no tienen pensión porque en el 90 los botaron del trabajo y el régimen de ese entonces, que hoy piensa reelegirse, se gastó la plata de los fondos pensionarios como de la Caja de Pensión Militar y Policial y la Caja del Pescador”, recordó.
Libertad de prensa y expresión garantizadas
Ollanta enfatizó que en un gobierno nacionalista la libertad de prensa y expresión están plenamente garantizadas.
Anunció que descentralizará la entrega de licencias de funcionamiento a los medios de comunicación, que ahora están monopolizadas por el Ministerio de Transportes y Comunicaciones, en consecuencia hay más de 500 radios llamadas “piratas” porque no pueden formalizarse.
Asimismo, dijo que el Canal 7 ya no será más un medio del gobierno de turno, sino que tendrá un directorio plural que garantice la necesaria fiscalización al Ejecutivo.
Lima, 24 de abril de 2011
“Quiero darles la oportunidad de estudiar y desarrollarse profesional y personalmente”, sostiene candidato presidencial de Gana Perú, tras compartir desayuno con niños de casa hogar “Generación”.
Acompañado por decenas de niños en situación de abandono, el candidato presidencial de Gana Perú, Ollanta Humala, celebró hoy el Domingo de Resurrección en la casa hogar “Generación”, en el distrito de Magdalena.
Ollanta y su esposa Nadine Heredia compartieron un desayuno con menores sin hogar y sin el apoyo de sus familias. Un grupo de niños que trabajan cantando y vendiendo golosinas en los buses de transporte público les dedicaron una canción a Ollanta y Nadine, y les hicieron conocer sus problemas y necesidades.
“Queremos que el Estado se preocupe por nosotros, que nos den estudios primarios, secundarios y superiores gratis, que el Estado promueva trabajo digno para nosotros, que nos garanticen atención de salud, que se capacite a los policías en derechos del niño ya que muchas veces nos agreden, que se luche contra la explotación sexual de la que somos víctimas. Pedimos respeto, no queremos ser discriminados”, manifestaron los pequeños.
Tras escuchar atentamente, Ollanta sostuvo que personalmente velará por los niños y adolescentes que viven situaciones difíciles, en especial por aquellos que no cuentan con el apoyo de sus padres y tienen que afrontar, solos, la vida en la calle.
“Quiero reiterar mi compromiso de trabajar por la niñez y la juventud peruana. El Estado tiene una deuda muy grande con ustedes, esa deuda hay que saldarla porque son el presente y el futuro del país. Estoy convencido que sólo la educación de calidad y la salud física y moral de nuestros niños y jóvenes será la garantía del desarrollo de nuestra Nación. Al terminar esta Semana Santa quiero decir que hay que estar pendientes de los niños que no cuentan con sus padres y tienen que estar cobijados en albergues. Lo mínimo que debemos hacer es comprometernos a defenderlos”, enfatizó tras entregar sábanas y frazadas a los niños.
En otro momento, el candidato presidencial de Gana Perú dijo que la última encuesta, que lo ubica liderando la intención de voto de cara a la segunda vuelta electoral, la toma con tranquilidad y que lo motiva a redoblar esfuerzos.
“Tenemos el compromiso de seguir trabajando duro, como si fuera el primer día de la campaña y no por las encuestas sino porque sentimos que en las calles el sentimiento nacionalista crece con mucha fuerza y esa es una gran responsabilidad. Voy a seguir trabajando como lo he hecho desde el principio para llegar con confianza al 5 de junio”, indicó.
Luego apuntó que su reto es ganarse la confianza de los ciudadanos indecisos. “Quiero pedirle a la población que no caiga en la campaña del miedo, que la esperanza esté por encima del miedo y que este 5 de junio siga la fiesta electoral. Hay más de un tercio del electorado que aún no define su voto y el reto es ganarnos su confianza”, señaló.
Finalmente, Ollanta dijo que “el Perú necesita una transformación, no de formas sino de fondo" y sostuvo que quienes ya tuvieron su oportunidad no cumplirán con lo que hoy prometen para el país. "Nosotros pedimos una oportunidad para demostrar que vamos a trabajar por el Perú”.
Lima, 24 de abril de 2011.
GANA PERU
DEFENDER EL VOTO POPULAR, DEFENDER LA DEMOCRACIA
COMUNICADO
GANA PERU convoca a toda su militancia, fuerzas políticas, organizaciones sociales y pueblo en general a participar activamente en la defensa del voto popular. UN MILITANTE, UN PERSONERO es la tarea del día, orientado a la defensa del voto por OLLANTA HUMALA y la Gran Transformación de nuestro país, que el triunfo obtenido en las urnas no sea arrebatado en mesa.
Todo local de GANA PERU en cada distrito, provincia y región a lo largo y ancho de todo el país, inscribe, capacita y acredita a los personeros. El 10 de abril tenemos un gran compromiso con la defensa del voto de Ollanta y GANA PERU y de la democracia en nuestro país.
INSCRIBETE Y DEFIENDE LA VOLUNTAD POPULAR
GARANTIZAR EL TRIUNFO POPULAR DEL 10 DE ABRIL
POR UN PERU DIGNO CON JUSTICIA Y LIBERTAD
Nota: En Lima de Lunes a Viernes a las 7pm se desarrollan charlas para personeros en el local de Calle Mariátegui 148 (Altura de Panamericana TV). Mayores informes en: 4223592. También te puedes inscribirte vía web en: http://directorio.partidonacionalistaperuano.net/registrarme.php