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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 01:05
The NSA Is Watching You !
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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 01:03
This is our wonderful fb friend, cameraman and reporter volunteer Libyan television, the student, who was killed in Libya while doing his duty. Performed installation and give us reports from the magnificent sets to support Gaddafi square in Tripoli. He was killed this summer by NATO and NATO rats.
A great martyr and a hero of Libya...
In memoriam (Mohanned Magam, 1988-2011)
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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 01:00

 

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:58
La Droite populaire lance un appel à l'électorat FN

Thierry Mariani, en janvier, à Rome.
Thierry Mariani, en janvier, à Rome.

 

Le collectif de députés de l'aile droite de l'UMP s'est fixé une mission pour l'entre-deux-tours : jouer les rabatteurs.

Lundi, ils interpellaient «les patriotes» pour leur demander de faire «barrage à Hollande». Mardi, ils appelaient «tous ceux qui aiment la France» à ne pas voter pour le candidat PS dont «le seul but est la désintégration de la nation». «Hollande, c'est Jospin en pire», disent-ils en énumérant le droit de vote des étrangers aux élections locales, «les régularisations massives» et «la suppression des peines planchers pour les récidivistes». Les 43 élus de la Droite populaire donnent de la voix. Ils se sentent pousser des ailes depuis qu'ils ont pris connaissance, dimanche soir, du bon score de la candidate FN, Marine Le Pen.

 

http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/04/25/01039-20120425ARTFIG00316-la-droite-populaire-lance-un-appel-a-l-electorat-fn.php

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:55

Derrière l'UMP-FN et Sarko : l'ombre du Pétainisme !

 

Je tiens les promesses même
celles des autres.

Clique pour agrandir

1er mai. Fête du travail. Je tiens les promesses même celles des autres. Ph. Pétain. Extrait du discours de Saint-Etienne à propos de la réalisation des retraites des vieux. Le maréchal serrant la main à un ouvrier sur fond d'usine ; francisque du maréchal entourée de l'inscription, 1er mai, fête nationale du travail.
D'après R. Coudon. - Paris, Imp. Bedos et Cie, (1941), 118 X 79, multicolore sur fond beige avec encadrement blanc.
Archives départementales des Côtes d'Armor. 2W 24 (5) / 25 Fi 27

Analyse de l'image :

 L'affiche se partage simplement entre une phrase et un dessin. Ce dernier, coloré dans les tons rouges, présente une symbolique élémentaire :  Pétain, reconnaissable,  soutien et salut  l'ouvrier anonyme qui représente tout le prolétariat. Des détails, les cheveux blancs, la moustache  ou la médaille, accentuent l'image du sage et de l'homme de confiance comme d'expérience. Cette poignée fraternelle scelle la réussite industrielle du pays, illustrée au second plan.
 Quant au texte, il martèle la loyauté du maréchal vis-à-vis du peuple français. Celle-ci est opposée aux promesses non-tenues des  gouvernements précédents, et l'annonce de la réalisation de la retraite des vieux (le terme n'est alors pas péjoratif) sert d'exemple et de preuve.
 Cette affiche appartient à une trilogie visant à honorer le travail et la solidarité sociale. Elle est tirée à plus de trois millions d'exemplaires. Cette campagne de propagande (la plus importante de l'occupation) lançait, à l'instar de l'Allemagne, la première fête du travail, le 1er mai 1941. Coïncidant avec la Saint-Philippe, prénom du maréchal, celui-ci tenait à lui donner une ampleur sans précédent.  Il en serait le centre, comme sa francisque au coeur de l'hexagone qui couronne l'affiche.

 

Contexte :

Partisans du corporatisme, les idéologues du régime se sont donnés comme objectif d'extirper la lutte des classes de la société française. L'Etat autoritaire devait aussi organiser le marché en supprimant le libéralisme, source de concurrence excessive selon bon nombre d'industriels séduits par la doctrine corporatiste. Dans l'industrie, des Comités d'organisation (C.O.) par branches vont se charger de la répartition des matières premières et de l'énergie dans une période de grave pénurie à cause du pillage économique du Reich. Contrôlés par le grand patronat, les C.O. avantagent la grande industrie au détriment des petites entreprises et de l'artisanat en contradiction avec l'idéologie proclamée au début de la Révolution nationale. Selon Vichy, la lutte des classes étant artificielle, on pourrait la supprimer en rassemblant employeurs et salariés dans la même structure sociale. Dans son discours de Saint-Etienne, prononcé le ler mars 1941, Pétain promet une Charte du Travail qui ne verra le jour que le 4 octobre 1941. Elle a été , préparée par R. Belin, ancien secrétaire général-adjoint. de la C.G.T., ministre du Travail. Journée symbolique pour les travailleurs la fête du ler mai est récupérée par le régime.

 

http://www.ac-rennes.fr/pedagogie/hist_geo/ResPeda/affiches/affiches/aff10.htm

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:53
1er Mai : «Une réappropriation sauvage de Sarkozy»

Des affiches appelant à la manifestation les 1er mai 1936, 1919 et 1906.

Des affiches appelant à la manifestation les 1er mai 1936, 1919 et 1906.

 

Danielle Tartakowsky est professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris-VIII. Auteur de la Part du rêve : histoire du 1er Mai en France (Hachette littératures, 2005), elle revient sur l’histoire du 1er Mai et sa valeur symbolique.

Le débat autour du 1er Mai et du «vrai travail», selon l’expression utilisée puis niée par Nicolas Sarkozy, est-il nouveau ?

Oui, évidemment. Même s’il faut noter qu'à travers l’histoire, le 1er Mai s’est toujours confondu avec le calendrier politique. Dès 1892, il y a une coïncidence entre les deux, et on se demande alors s’il ne faudrait pas repousser les élections. Mais, globalement, le 1er Mai a eu assez peu d’incidence politique au cours du XXe siècle. Concernant les déclarations de Nicolas Sarkozy, les accents anti-syndicaux et sur le vrai travail ont déjà été entendus lors du régime de Vichy. Est-ce une allusion directe ? Je crois plutôt que Nicolas Sarkozy effectue là une réappropriation sauvage dont il a le secret.

Quelles sont les origines du 1er Mai en France ?

En 1889, à l’occasion de l’exposition internationale, les organisations ouvrières de plusieurs pays d’Europe décident d’un mouvement commun pour obtenir une législation en faveur de la journée de 8 heures. Le premier 1er Mai a lieu en 1890. C’est un mouvement international qui a quelque chose d’ahurissant pour l'époque, quand on pense à la faiblesse des moyens de communication. Dans le plus petit village, on sait qu’on appartient à quelque chose de plus grand. Il n’y avait pas de mot d’ordre commun : chacun faisait ce qu’il pouvait là où il était, car le droit de manifester n'était pas reconnu partout. En France, ce sont les Guedistes qui prennent la tête du mouvement. Ils appellent les ouvriers à «mettre en demeure» les députés sur la loi des 8 heures. Néanmoins, le mouvement reste très éclaté. Il faut attendre 1905 pour que la CGT prenne la direction du 1er Mai. La pratique sociale est donc préexistante aux partis et aux syndicats.

Quels étaient les objectifs à la fin du XIXe siècle ?

Au départ, il n'était pas du tout prévu que les actions du 1er Mai soient reconduites l’année suivante. Mais en 1892, la Deuxième Internationale décide d’en faire une journée pérenne avec trois objectifs : 1/ obtenir la journée de 8 heures 2/ se projeter vers l’avenir, construire un projet par l’image et le rêve. L’historien Eric Hobsbawm parle de «la seule fête qui ne commémore rien pour ne parler que du futur» 3/ lutter pour la paix et la solidarité internationale. Une dimension que l’on retrouve d’ailleurs encore aujourd’hui quand on lit le texte de l’intersyndicale.

Le succès est-il immédiat ?

A l'époque, les défilés regroupent quelques centaines de personnes. Il faut bien se dire que le 1er Mai n’est pas férié, et que pour manifester, il faut se mettre en grève. Dès 1892, il ne se passe plus grand-chose à Paris en raison du contrôle exercé par le préfet Lépine. En revanche, dans certaines villes de province, organiser un cortège du 1er Mai est plus aisé.

Est-ce que le 1er Mai effraie au sein des classes dirigeantes ?

Il y a en effet des moments de grande peur. Dès 1891, dans de nombreuses villes industrielles, les patrons demandent au pouvoir de mobiliser les troupes. Cela mène à des drames, comme la fusillade de Fourmies, qui fait neuf morts dans la foule. En 1906, toutes les boutiques parisiennes ferment alors que la CGT nouvellement créée appelle à manifester.

Quel rôle a joué le 1er Mai dans l’arrivée au pouvoir du Front populaire ?

En 1936, il y a un important mouvement de grève partout en France. Mais à Paris, la CGT demande qu’il n’y ait pas de rassemblement le 1er Mai, afin de ne pas interférer avec les élections et l'éventuel changement de pouvoir. En revanche, en 1937, le défilé rassemble 500 000 personnes, selon les organisateurs. C’est la première fois qu’on ose donner de tels chiffres. Il s’agit d’un moment relais qui montre que la victoire est enfin possible. Mais, au final, le 1er Mai se confond rarement avec des moments de victoire. Le reste du temps, il permet surtout d’oublier les difficultés.

A cette époque, la droite se sert-elle du 1er Mai comme repoussoir ?

Au sein de la droite parlementaire, il y a un discours antirouge, mais qui n’a pas besoin du 1er Mai pour s’exprimer.

Le maréchal Pétain tente d’instaurer sous le régime de Vichy un 1er Mai qui serait «la fête du Travail et de la Concorde sociale». Comment cela se déroule-t-il ?

Pétain tente de s’approprier cette journée pour faire l’apologie du travail. Cette récupération politique n’est d’ailleurs pas une totale innovation. Dans l’entre-deux-guerres, de nombreux Etats, comme l’URSS ou l’Allemagne nazie, ont usé du 1er Mai pour en faire une fête nationale. Pétain tente une opération de syncrétisme avec des héritages plus anciens, voire disparus : des rites folkloristes dans les campagnes, censés inspirer le renouveau. Cela marche assez mal et illustre l'échec de Pétain à s’ancrer dans l’histoire. En outre, la France est occupée par l’Allemagne, qui exige une importante production industrielle. Le 1er Mai ne peut donc pas être complètement chômé. Il se limite à un arrêt de travail durant lequel les salariés se rendent devant un petit autel surmonté du portrait du Maréchal, où ils entendent son discours. Cela a aussi des effets pervers : à partir de 1942, des mouvements communistes et d’autres appellent à faire du 1er Mai une journée patriotique. De résistance, donc.


Une affiche du régime de Vichy pour la fête du Travail (d'après R. Coudon)

Comment le 1er Mai réinvestit-il le champ politique après-guerre ?

On évite soigneusement d’utiliser le terme de «fête du travail», trop associé à Pétain. La loi du 30 avril 1948 l’ancre comme une «journée fériée, chômée et payée». Dans l’usage courant, on privilégiera le terme de fête des travailleurs. Après la guerre, les premiers 1er Mai rassemblent plus largement, notamment des structures issues de la résistance. La guerre froide change la donne. De 1948 à 1950, le général de Gaulle organise des rassemblements à Bagatelle pour arracher le monopole du 1er Mai «aux séparatistes de la CGT».

Mais, globalement, à partir du moment où le 1er Mai devient férié, son histoire n’est pas linéaire. Ça dépend des contextes locaux, des vacances... Le dernier changement notable, c’est en 1988, lorsque Jean-Marie Le Pen tente d’opérer un syncrétisme avec la fête de Jeanne d’Arc. Cela a conduit d’ailleurs à une importante mobilisation anti-FN en 2002, quand Jean-Marie Le Pen a atteint le second tour de l'élection présidentielle. Cette année, le 1er Mai semble organisé sur des bases classiques. Il n’y a pas d’appel à battre Sarkozy dans le texte de l’intersyndicale.

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:50

Enquête sur les spin doctors de la communication politique

 

Présidentielle confidentielle : la fabrique des candidats

Enquête sur les professionnels de la communication politique

Par Anne Fulda
Carla Bruni, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Valérie Trierweiler Photos Reuters/AFP

À chaque couple sa communication politique.

Loin de la sacralisation médiatique, les spin doctors et autres professionnels de la communication politique jouent la discrétion. Dans ce singulier marathon de campagne, pas de bataille du buzz. Pourtant, côté ombre, tous sont là. Voyage au cœur du dispositif.

« Ne vous embêtez pas avec ce qu’il y a autour, vous me faites une bonne lumière, un bon son, et moi je fais le reste ! » C’est ce qu’a lancé Nicolas Sarkozy à ses collaborateurs, juste après l’annonce de sa candidature. Comme si, en 2012, une campagne présidentielle se faisait encore avec deux spots et une bonne sono ? En réalité, alors que le compte à rebours avant le premier tour a commencé, chacun sait que derrière les deux principales têtes d’affiche, François Hollande et Nicolas Sarkozy, des hommes et des femmes travaillent depuis des mois à la victoire de leur champion.

Conseillers politiques, sondeurs, publicitaires, spécialistes d’Internet, ces « hommes de l’ombre » n’ont qu’une obsession : faire élire leur candidat. Pour cela, ceux que l’on appelle désormais les spin doctors travaillent sur l’image de leur client, et cherchent à lui faire raconter une histoire qui parle aux électeurs (le fameux storytelling). La campagne, « c’est une histoire qui s’écrit de façon plus ou moins organisée, avec une règle de base : ou tu subis, ou tu imposes et tu t’adaptes en fonction des sujets », explique Franck Louvrier, le conseiller en communication de Nicolas Sarkozy. En 2012, les communicants sont cependant priés d’être discrets, la mode n’est plus aux « gourous de la com ». « Le stratège, c’est avant tout François Hollande », assure Manuel Valls, directeur de la communication de la campagne socialiste. Le candidat du PS, outre son équipe officielle, consulte cependant des publicitaires, comme Robert Zarader, de l’agence Equancy, le sociologue Jean-Louis Missika ou encore Pierre Lescure. Nicolas Sarkozy écoute, lui aussi, plusieurs conseillers, mais il fixe la ligne. Carla Bruni-Sarkozy et la compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, jouent également un rôle important, si ce n’est politique, en tout cas psychologique. Plongée, en coulisses, auprès de ceux qui s’occupent – encore – de l’« image et du son ».

 

http://madame.lefigaro.fr/societe/presidentielle-confidentielle-fabrique-candidats-140412-228278

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:48
Takieddine a «peu de doute sur l'authenticité» du document de Mediapart

Le Franco-libanais Ziad Takieddine à la sortie d'une audition devant les juges en charge de l'affaire Karachi, le 14 septembre 2011 à Paris. Le Franco-libanais Ziad Takieddine à la sortie d'une audition devant les juges en charge de l'affaire Karachi, le 14 septembre 2011 à Paris.

 

Il affirme être à l’origine des très bonnes relations entretenues jusqu’à début 2011, entre la France de Nicolas Sarkozy et la Libye du colonel Muammar Kadhafi. L’intermédiaire Ziad Takieddine, par ailleurs mis en examen dans le volet financier de l’affaire Karachi, a confirmé à Libération que Tripoli a pu financer la campagne 2007 du candidat Sarkozy. Il a également détaillé, pour la première fois, la mise en place des relations diplomatiques entre les deux pays.

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:46

A gauche aussi on est responsable de la montée du Lepénisme.
Pas que sous Miterrand. Mais aujourd'hui !

 

 

La fête d'anniversaire de Julien Dray avec DSK crée la polémique

Julien Dray

 

Le député PS Julien Dray a convié samedi soir dans un bar parisien Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici notamment, pour fêter son anniversaire mais sans les avertir de la présence de Dominique Strauss-Kahn, ce qui a provoqué le départ de certains d’entre eux.

Cette rencontre a été révélée samedi soir sur Twitter par le journaliste du Point, Saïd Mahrane, qui a posté sur son compte deux photos, l’une de DSK et l’autre de Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande. Ces photos ne les montrent pas ensemble. Julien Dray fêtait son anniversaire dans un bar de la rue Saint-Denis, mais n’avait pas prévenu les autres invités de la venue de l’ancien directeur général du Fond monétaire international, a-t-on indiqué au PS.

On a affirmé qu’en l’apprenant Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici, directeur de la campagne de François Hollande, étaient repartis aussitôt et n’avaient «pas croisé» Dominique Strauss-Kahn. «Dire que j’aurais rencontré Dominique Strauss-Kahn à cette occasion serait diffamatoire», a prévenu Ségolène Royal.

«Inadmissible»

«Je suis allée dans ce bar avec ma fille fêter l’anniversaire de Julien Dray, nos enfants sont amis, mais je ne savais pas que Dominique Strauss-Kahn était également invité. En l’apprenant, nous sommes tout de suite reparties et nous ne l’avons pas croisé», a-t-elle ajouté, en soulignant que Manuel Valls en avait fait autant. Elle a jugé «inadmissible» que Julien Dray ne lui ai rien dit avant.

Plusieurs autres sources, dont une de l’entourage de Dominique Strauss-Kahn, ont affirmé Manuel Valls et Pierre Moscovici n’avaient pas quitté le bar en apprenant la venue de l’ex directeur général du FMI, mais avaient longuement parlé avec lui et son épouse Anne Sinclair.

DSK, le retour

En revanche, ces sources ont confirmé le départ de Ségolène Royal et le fait qu’elle ne l’ait pas croisé. Cette invitation est intervenue à la veille du dernier grand meeting parisien du candidat socialiste à la présidentielle, une semaine avant le scrutin.

En outre, elle est survenue après la diffusion par le journal britannique Guardian d’une interview de DSK au journaliste américain Edward Epstein dans laquelle l’ex patron du FMI accuse ses opposants politiques de lui avoir barré la route de la présidentielle avec l’affaire du Sofitel de New York.

Dimanche, Dominique Strauss-Kahn a fait savoir qu’il n’avait jamais «donné d’interview au Guardian» et qu’il s’agissait «d’un montage à partir d’un livre». Les propos de DSK ont déclenché une passe d’armes entre les équipes de François Hollande et de Nicolas Sarkozy.

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 00:43

Derrière la comédie antisystème, la véritable situation !

 

 

Gollnisch prêt à voter Sarkozy... sous condition

Bruno Gollnisch

 

Le chef de file du FN en Rhône-Alpes demande au président sortant d'affirmer qu'il «préférerait voter FN que PS» en cas de duels aux législatives.

Bruno Gollnisch, chef de file du Front national en région Rhône-Alpes, s’est dit prêt à voter pour Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle à condition que le candidat UMP «laisse entendre qu’il préférerait voter FN que PS» lors des législatives en cas de tels duels.

Dans un entretien au quotidien Le Progrès de lundi, M. Gollnisch déclare que le 6 mai,»à titre personnel, (il) penche plutôt pour un vote Sarkozy que pour un vote Hollande».

Mais, précise-t-il,»à une seule condition: qu’il désavoue ses lieutenants qui ont répondu qu’en cas de duel FN-PS aux législatives, ils choisiraient le candidat socialo-communiste».

«A ce jour, Nicolas Sarkozy s’est contenté de répondre que ce cas de figure ne se présenterait pas. C’est faux. On l’a connu précédemment et évidemment, on le connaîtra en juin dans un certain nombre de circonscriptions», poursuit le candidat malheureux il y a un an face à Marine Le Pen à la présidence du Front national.

«S’il laisse entendre qu’il préférerait voter FN que PS, alors je voterai pour lui», ajoute-t-il, en soulignant que «l’intérêt partisan du FN est que Sarkozy soit battu mais l’intérêt du pays passe au dessus». Nicolas Sarkozy «serait le choix du moins pire», d’après M. Gollnisch.

Si le président-candidat ne fait pas ce geste en direction du FN, «alors, je voterai blanc», indique le candidat aux élections législatives dans le Var.

Nicolas Sarkozy «retrouve en campagne électorale, comme en 2007, quelques accents sur l’immigration ou la protection des productions françaises» mais, «en réalité, il n’a rien fait durant son quinquennat», ajoute le député européen.

Interrogé sur les «tentatives de récupération de Nicolas Sarkozy ces derniers jours», il estime «qu’en majorité, notre électorat est choqué par le mépris manifesté à son égard».

«On traite ces électeurs comme des objets de curiosité (...), comme des gens qui ne feraient que manifester une humeur, n’auraient qu’un vote de rejet sans savoir ce qu’ils font. Alors que, pour la majorité d’entre eux, c’est un vote d’adhésion aux idées du FN», d’après l'élu rhônalpin.

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