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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:02

 

L'Enfant de Jules Valles

Présentation de l'Enfant

Ce roman autobiographique de Jules Vallès est dédié "A tous ceux qui crevèrent d'ennui au collège ou qu'on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents...."

Roman de Jules Vallès ( 1832-1885) . L'Enfant fut publié à Paris en feuilleton sous le titre de Jacques Vingtras et sous le pseudonyme de La Chaussade, en 1878, dans Le Siècle.

Le sous-titre l'Enfant et le nom de Vallès apparaîtront dans la troisième édition, en 1881.

L'Enfant est le premier volet de la trilogie de Jacques Vingtras. Les deux autres épisodes ont pour titre : Le bachelier et L'insurgé.

Le roman est découpé en vingt-cinq court chapitres.

Résumé du roman

Jacques, le narrateur, a au début du récit, 5 ans. Il est le fils d'une mère paysanne, injuste et sournoise, et d'un père professeur. Il raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures". Jacques est triste et seul.

Heureusement la Famille comporte un certain nombre d'oncles et de tantes, des personnages plus agréables et plus sympathiques. Jacques tombe amoureux de ses cousines.

Après l'oppression maternelle, Jacques connaît l'oppression du collège : il y mange mal, et subit d'autres punitions . Les professeurs sont, eux, d'affreux pédants. L'un d'eux, un philosophe ridicule, prétend même apporter à Jacques les preuves de l'existence de Dieu.

Puis Jacques évoque la petite ville où se trouve son école et la toilette ridicule que sa mère lui oblige de porter. Heureusement les vacances sont synonymes de détente . Jacques y retrouve un semblant de liberté .

Son père est nommé à Saint-Etienne et toute la famille déménage avec lui. Le narrateur va découvrir de nouvelles personnes, plutôt sympathiques. Mais Il s'ennuie au lycée, ceci malgré la lecture de Robinson Crusoé.

Les vieilles habitudes maternelles resurgissent . Les repas sont toujours pénibles : il faut manger ce que l'on n'aime pas et laisser ce qu'on préfère. La famille épargne durement.

Un voyage au pays lui permet de goûter à nouveau à la liberté. Jacques se met également à imaginer des projets d'évasion. Mais il faut rentrer. La famille connaît alors un drame : l'infidélité du père qui cherche réconfort dans d'autres bras. Puis avant le départ vers Nantes, Jacques évoque ses souvenirs . Sa mère ne cesse de faire honte à son fils. Elle se montre également intraitable et cruelle envers les domestiques successives qu'elle exploite.

Louisette, la fille d'un ami de la famille meurt, victime des mauvais traitements infligés par son père. Jacques, lui, est un bon élève. Mais suite à une aventure avec Mme Devinol, on l'envoie à la pension Legnana, située à Paris. Mais il échoue dans ses études. Sa mère vient le chercher pour le ramener à Nantes. Ce retour est pour lui, une véritable délivrance. Il se réconcilie avec son père et annonce sa décision : il sera ouvrier.

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:02

 

Jules Vallès par Gustave Courbet


Jules VALLES, journaliste et romancier né au Puy-en-Velay le 11 juin 1832 et décédé à Paris le 14 février 1885.
Oeuvres principales : L'Enfant (1879), Les Blouses (1881), Le Bachelier (1881), L'Insurgé (1886),...


Les textes présentés sur cette page, d'abord publiés dans divers journaux entre 1867 et 1869 (La Rue, Le Corsaire), sont extraits du recueil : Les Enfants du Peuple / Jules Vallès, préf. par Julien Lemer.-Paris : La Lanterne, 1879.- XXXIX-244 p. ; 19,5 cm.


texte établi d'après l'édition de 1879 sur un exemplaire de l'édition en fac-simile des éditions du Lérot (Tusson, 1987). 


Mazas : "Nous parlerons de la prison et point du prisonnier, non d'un coupable, mais d'un supplice. Je connais Mazas. Il y a de cela pas mal d'années, nous fûmes, quelques amis et moi, arrêtés. Ce n'était la faute de personne. Un pauvre garçon nous avait dénoncés comme complices de je ne sais quelle conspiration, et l'on nous conduisit en prison. Renseignements pris, le juge d'instruction reconnut que notre accusateur n'était qu'un fou. Depuis le collège où nous avions été ses camarades et où nous nous mettions quelquefois à dix pour le maintenir dans ses accès, il était en proie à des attaques d'épilepsie et de délire ; lui-même avoua sa folie : on nous relâcha. Mais nous avions passé là quelques semaines, et entendant parler ces jours-ci prison et prisonnier, il m'est revenu à la mémoire quelques-unes des sensations que j'éprouvai dans la cellule et entre les murs des promenoirs..."

Hernani : "Je m'étais posté au café même du théâtre, où le patron m'avait donné la meilleure place : il me voyait venir autrefois avec Gustave Planche, au temps où le pauvre homme commençait à souffrir du mal qui devait l'emporter et où je soutenais sur mon bras de vingt ans sa vieillesse précoce. J'aperçus, à deux tables plus loin, Toussenel qui venait aussi et qui est resté un habitué : ce bon Toussenel, toujours simple et modeste, en tenue d'officier retraité, chapeau de feutre mou, redingote boutonnée, moustache et barbiche blanches. Nous causâmes une minute du passé, mais une minute seulement ; il était sept heures et l'on allait jouer Hernani..."

L'Art populaire : "L'art, à mon sens, peut diriger les destinées d'un peuple. Il est l'inspirateur souverain des sentiments qui entraînent les défaites méritées ou les victoires justes. C'est à ceux qui s'occupent des choses de l'esprit qu'appartiennent la tâche et le pouvoir de faire un peuple libre. Mais l'art actuel n'en est pas là. Il est encore aristocrate à sa façon, faiseur de cérémonies, esclave d'une étiquette qui est à la fois une injure à l'ignorance de la foule et au caractère de l'artiste..."

Charles Baudelaire : "On me présenta à lui. Il clignota de la paupière comme un pigeon, se rengorgea et se pencha : - Monsieur, dit-il, quand j'avais la gale... Il prononça gale comme les incroyables disaient chaamant, et il s'arrêta. Il avait compté sur un effet et croyait le tenir tout entier avec son début singulier. Je lui répondis sans sourciller : - Êtes-vous guéri ?.."

Chers parents : "C'est le moment où vous discutez dans les familles, autour de la table et sur l'oreiller, l'avenir de vos enfants ! De tous ces moutards en tunique de collége et de ces garçons, frais bacheliers qui rôdent ces jours-ci à travers les rues, qu'allez-vous faire ? C'est la rentrée demain dans les lycées, bientôt dans les écoles ; l'heure est décisive et le moment grave, plus grave qu'on ne pense ! J'en ai tant connu de ces pauvres garçons qui ont mal fini parce qu'on les fit mal commencer ! Ce n'était point leur faute, mais celle des hommes qui, chargés de diriger leurs premiers pas, les jetèrent tout petits dans le chemin qui conduit tout de suite à la souffrance et plus tard quelquefois à la honte..."

Antony : "Jaloux du mari ! - C'est qu'il a tous les droits, le droit de tuer, - ce qui n'est rien, - mais le droit aussi d'aimer et d'être aimé, le scélérat ! Elle vous arrivera du foyer conjugal, indolente et pâlie, avec des taches violettes sous les yeux, la paupière lasse, et vous croirez lire sur le satin de sa peau le triomphe insolent de l'époux ! On se trompe souvent, toujours peut-être : elle est pâle parce qu'elle n'a pas dormi «en pensant à toi», parce qu'elle a veillé sa mère, parce qu'elle est souffrante aussi. Mais le spectre charnu du mari se dresse toujours menaçant entre eux deux, et, l'infâme qu'elle est, elle ne fait rien pour vous consoler, elle veut que l'on souffre encore et qu'on doute toujours ; elle aiguillonne votre amour avec la pointe de ce poignard..."

Les Criminels : "A la prison de Lille vient de mourir un vieillard qui était âgé de quatre-vingt-douze ans et qui en avait passé quarante-cinq dans les maisons centrales ou les bagnes. C'était un prisonnier excellent, modèle de douceur, esclave de la discipline. Il ne fut pas puni une fois, mis au cachot seulement une heure, dans le cours de ses innombrables incarcérations. Il s'est éteint, comme un sage, entre les bras de l'aumônier, en demandant à Dieu l'entrée au paradis, où il promettait de se conduire aussi bien que dans les maisons du gouvernement. J'ai connu encore - bien avant qu'on parlât du bon captif de Lille, - j'ai connu un homme qui avait fait juste cinquante ans de bagne.

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:01

 

 



Jules Vallès



Journaliste et écrivain français,
membre de la Commune de Paris

1832-1885




Biographie de Jules Vallès


Né au Puy-en-Velay, Jules Vallès vit une enfance malheureuse, marquée par la pauvreté, entre un père instituteur intransigeant et une mère possessive et violente. Il devient un révolté permanent contre l'injustice et l'ordre établi. Alors qu'il est lycéen à Nantes, il prend part avec enthousiasme aux manifestations de la révolution de 1848.

Après avoir raté son baccalauréat, Jules Vallès mène à Paris, sous le second Empire, une vie de bohème et défend les idées révolutionnaires. En 1857, il publie son premier livre, "L'argent" et se fait remarquer par un article dans le Figaro, "Dimanche d'un jeune homme pauvre", qui lui ouvre des portes pour une activité de journaliste et de chroniqueur. Durant cette période, Jules Vallès fonde plusieurs journaux, dont "La Rue" et "le Peuple", et se bat pour la liberté de la presse. Il est emprisonné à plusieurs reprises et se présente sans succès aux élections législatives de 1869. Polémiste sans concession, il fait preuve d'une verve pleine de sensibilité et d'un enthousiasme passionné dans la défense des gens du peuple.

Jules Vallès est emprisonné comme pacifiste au début de la guerre de 1870. A sa libération, il s'engage dans l'Internationale et fait paraître "Le Cri du Peuple". Pendant la Commune de Paris (1871), Jules Vallès est élu dans le quinzième arrondissement et devient l'un des chefs de file de l'insurrection, siégeant à la commission de l'enseignement, puis à celle des relations extérieures. Favorable à la liberté d'expression, il fait partie de la minorité opposée à la dictature d'un comité de salut public. Il combat jusqu'à l'écrasement de la Commune ("La Semaine sanglante" où 20 000 insurgés sont fusillés) et parvient à s'enfuir en Angleterre.

Condamné à mort par contumace en 1872, Jules Vallès est contraint de rester réfugié à Londres où il vit dans la misère. Tout en envoyant de nombreux articles à Paris, publiés sous des pseudonymes, il met à profit son exil pour écrire son chef d'oeuvre, à la fois romanesque et autobiographique, plein de sensibilité, la trilogie "Jacques Vingtras" : "L'Enfant", "le Bachelier" et "l'Insurgé".

Amnistié par les lois de 1880, Jules Vallès ne retourne à Paris qu'en 1883. Il reprend ses activités de journaliste et fait à nouveau paraître "Le Cri du Peuple" pour y défendre avec passion la cause du prolétariat. Mort en 1885, épuisé par le diabète, il est accompagné au Père-Lachaise par presque cent mille personnes parmi lesquelles beaucoup d'anciens communards.


Principales oeuvres :

  • L'argent (1857)

  • Les réfractaires (recueil d'articles, 1866)

  • Un Gentilhomme (1869)

  • Les Enfants du Peuple (1879)

  • L'Enfant (1879)

  • Le Bachelier (1881)

  • Les Blouses (1881)

  • L'Insurgé (1886)

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:00

 

 



Jules Vallès



Journaliste et écrivain français,
membre de la Commune de Paris

1832-1885




"J'ai toujours été l'avocat des pauvres, je deviens le candidat du travail, je serai le député de la misère ! La misère ! Tant qu'il y aura un soldat, un bourreau, un prêtre, un gabelou, un rat-de-cave, un sergent de ville cru sur serment, un fonctionnaire irresponsable, un magistrat inamovible ; tant qu'il y aura tout cela à payer, peuple, tu seras misérable !"
Jules Vallès - 1832-1885 - lors de l'élection législative de 1869

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:59

 

 



Jules Vallès



Journaliste et écrivain français,
membre de la Commune de Paris

1832-1885




"J'ai toujours été l'avocat des pauvres, je deviens le candidat du travail, je serai le député de la misère ! La misère ! Tant qu'il y aura un soldat, un bourreau, un prêtre, un gabelou, un rat-de-cave, un sergent de ville cru sur serment, un fonctionnaire irresponsable, un magistrat inamovible ; tant qu'il y aura tout cela à payer, peuple, tu seras misérable !"
Jules Vallès - 1832-1885 - lors de l'élection législative de 1869

"Le Capital mourrait si, tous les matins, on ne graissait les rouages de ses machines avec de l'huile d'homme."
Jules Vallès - 1832-1885 - Jacques Vingtras

"Dans tout homme qui tient une plume... le bourgeois voit un inutile; dans chaque bourgeois, l'homme de lettres est un ennemi."
Jules Vallès - 1832-1885 - Les Réfractaires

"Il existe de par les chemins une race de gens qui, au lieu d'accepter une place que leur offrait le monde, ont voulu s'en faire un tout seul, à coup d'audace ou de talent."
Jules Vallès - 1832-1885 - Les Réfractaires

"Les gens disent: "il est intelligent", parce que vous êtes de leur avis."
Jules Vallès - 1832-1885 - Le bachelier

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:58

 

 

 

 

L'enfant - Livre de Jules Vallès

"A TOUT CEUX

qui crevèrent d'ennui au collège ou qu'on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents; Je dédie ce livre." Jules Vallès

 

Fils d'un professeur de collège méprisé et d'une paysanne bornée, Jules Vallès raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gater les enfants et elle me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures."Cette enfance ratée, son engagement politique pour créer un monde meilleur, l'insurrection de la Commune, Jules Vallès les évoqua, à la fin de sa vie, dans une trilogie. La langue de Jules Vallès est extrémement moderne. Pourtant l'histoire de Jacques Vingtras fut écrite en 1875 et c'est celle des mal-aimés de tous les temps!

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:57

 

Le bachelier - Livre de Jules Vallès

"A CEUX

qui nourrit de grec et de latin sont mort de faim; je dédie ce livre."Jules Vallès

Jules Vallès, jeune bachelier, ne trouve pas de travail pour une raison simple : "J'ai dix ans de colère dans les nerfs, du sang de paysan dans les veines, l'instinct de révolte... ne voyant la vie que comme un combat, espèce de déserteurs à qui les camarades même hésitent à tendre la main, tant j'ai des théories violentes qui les insultent et qui les génent ; ne trouvant nulle part un abri contre les préjugés et les traditions qui me cernent et me poursuivent comme des gendarmes."

Dans ce deuxième volume autobiographique, Jacques Vingtras le réfractaire manifeste au Quartier latin, échafaude avec ses amis mille projets révolutionnaires. L'écriture est enflammée, pleine d'humour. La commune se profile à l'horizon. En attendant il faut vivre : il sera pion.

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:56

 

L'insurgé - Livre de Jules Vallès

"A TOUS CEUX

qui, victimes de l'injustice sociale, prirent les armes contre un monde mal fait et formèrent sous le drapeau de la Commune, la grande fédération des douleurs, Je dédie ce livre." Jules Vallès

Toute la vie de Vallès est tendue vers la Commune. Lorsque les insurgés s'emparent de Paris, il devient maire du XIXème arrondissement. Le lendemain de l'insurrection, il est condamné à mort par contumace. Son le Cri du peuple, est interdit. Dans ce troisième volume autobiographique, l'auteur montre son héros, Jacques Vingtras, sur les barricades, dans le feu de l'action, au milieu des morts et des bléssés. Son écriture rapide, sa vision fulgurante des scénes de combat, font de ce livre le cri de la Commune. Jules Vallès mourut épuisé, à cinquante-trois ans, en murmurant : "J'ai beaucoup souffert."

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:56

 



http://www.bookine.net/valles002.jpg

L'enfance de Vallès, évoquée dans 'L' enfant', est marquée par la pauvreté et le malheur, entre une mère violente et un père instituteur sévère. Pendant la révolution de 1848, Vallésest lycéen à Nantes, et prend part avec enthousiasme aux manifestations. A Parisen 1851, il assisteimpuissant au coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte. Ayant raté son bachot, il mène dès lors l'existence bohème et précaire d'un défenseur d' idées révolutionnaires. En 1857, il écritson premier livre, non signé, 'l' Argent'. Chroniqueur pugnace des conditions de vie du peuple, il fonde un hebdomadaire lui valant d'être censuré ou emprisonné à plusieurs reprises. Lors de la Commune, il fait paraître une revue'le cri du peuple'. Elu dans le quinzième arrondissement, il devient un des chefs de file de l'Insurrection. Combattant jusqu'au bout de la 'Semaine sanglante' il s'enfuit à Londresoù il passera 9 ans d'exil. Il en profite pour se consacrer à son chef-d' oeuvre: la trilogie 'Jacques Vingtras' : 'L' Enfant', 'Le Bachelier' et 'l' Insurgé', qui se nourrit de différentes étapes de sa vie. Malgré l'amnistie de 1880, Vallès ne retourne à Paris qu'en 1883. Il réactive alors le 'cri du peuple', qu'il porte passionnément jusqu'à sa mort en 1885, au terme d'une vie sans complaisance.

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 20:55

"Jules Vallès (1832-1885) est l'un des pères de la pensée de gauche et l'un des héros de la commune"
Frédéric Fabre

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Présentation

  • : "LE CRI DU PEUPLE" : Stéphane Parédé : "L'AVOCAT DES PAUVRES ET DES OPPRIME-E-S"
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